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Le fil éclectique

Pour tous les posts qui ne trouvent pas de forum, celui-ci ramasse les chiens perdus.

  • Mevatlav Ekraspeck le 04/01/2022 à 19h57
    Non. Le chef d'établissement appliquera une modération lors de la remontée des notes.

    Ils ont l'habitude de pondérer les excès des psychopathes qui hantent certains bahuts.

  • John Six-Voeux-Berk le 04/01/2022 à 20h44
    C'est formidable que cela soit possible et pratiqué.

    Pour ma part (commission de recrutement cpge), je vois passer des relevés non redressés, malgré les promesses de le faire des établissements d'origine.

    Pour essayer de compenser ces biais (et les effets dun éventuel redressement ou non), nous avons introduit des pondérations classement/effectif et évidemment « niveau de classe ». Tout le monde était tétanisé en revanche à l'idée d'une pondération automatique, même faible, par le « niveau de l'établissement » (approximé par le taux de mentions tb à l'époque où cela pouvait avoir une signification quelconque).

    Conséquence : un 4eme d'une très bonne classe dans un établissement réputé avait malgré tout, moins de chance d'intégrer qu'un premier de classe assez bonne. Sur le plan de la justice sociale, pourquoi pas, et encore, ce n'est pas toujours si net quand on se penche sur les stratégies alambiquées ou naïves qui se développent. Sur le plan du niveau brut, c'est injuste la plupart du temps.
    J'utilise l'imparfait, parce qu'avec l'éclatement des groupes classes induit par la réforme, on ne peut plus raisonner comme cela.

  • syle le 05/01/2022 à 09h18
    Dans ce cas, s'il doit persister le moindre doute, je vais prendre rendez-vous avec le chef d'établissement, et si les choses ne changent pas, ma gamine changera de lycée dussé-je faire un sacrifice de 100 € par mois pour lui offrir le bahut privé d'à côté.
    Etant viscéralement attaché à l'enseignement public, ça me ferait mal, mais je le ferai.
    C'est assez hallucinant que des huluberlus puissent se comporter comme ça, pépouze. Et je passe sur les mails incendiaires adressés aux parents d'élèves, aussi délirants sur le fond que sur la forme, pour les sommer de bouger leurs progénitures débiles. Quant aux cours, on les reprend systématiquement à la maison vu qu'ils sont en grande partie incompréhensibles.
    Si ça ne devait pas avoir plus de conséquences que ça, j'étais prêt à faire avec. Mais s'il y a le moindre risque que ça puisse peser sur la sélection post-bac, c'est hors de question.

  • Mevatlav Ekraspeck le 05/01/2022 à 09h34
    Fais-le et n'y va pas avec le dos de la cuiller concernant la dingo.

    Par contre ça ne changera pour ainsi dire rien au souci. Quand les personnels de direction se retrouvent avec des tarés de ce calibre, il n'y a rien à faire, ils sont intouchables, c'est là un de nos grands drames dans l'éducation nationale.

    Donc on été prévus des dispositifs de pondération et d'harmonisation, tant pour les gamins qui subissent une échappée du cirque qui décide de ne jamais mettre au delà de 9/20 parce que de toute façon les élèves sont nuls, ou inversement pour pallier au grand malade qui met entre 18 et 20 à tout le monde pour acheter la paix sociale en classe et avec les parents. Et je ne parle même pas du contenu des cours et des acquis réels des gamins dans ces conditions, systématiquement catastrophiques.

    Et quand tu arrives enfin à faire venir un IPR (un inspecteur) pour vérifier tout ça, le prof, bien évidemment prévenu, te sors LE cours exemplaire en tout point, donc tout va bien, merci et bonsoir chez vous.

    Quand la fin du monde sera imminente, je ferai le tour de quelques anciens bahuts pour retrouver ces profs là qui m'ont tant fait souffrir en tant qu'élève ou en tant que collègue, et je leur ferai tâter de mon lance-flamme.

  • syle le 05/01/2022 à 09h52
    Mais un chef d'établissement n'a pas d'autre choix que de filer à une prof gueudin des classes de terminale où cette spécialité est super importante ?

  • JeanLoupGarou le 05/01/2022 à 10h00
    De mon expérience personnelle, un prof installé depuis quelques années peut être le dernier des fils e ****, il ne lui arrivera pas grand chose.

    Pensées pour cette prof qui avait tenu des propos parfaitement homophobes, en plus d'être vraiment pas très bonne dans ses enseignements, l'un des élèves récemment coming outé s'était plaint à ses parents, qui avaient rameuté la totalité des parents d'élèves de notre année dans le bureau du proviseur, qui leur avait gentiment dit d'aller se faire voir et que de toute façon elle n'avait plus que 5 ans avant la retraite.

    Ou ce prof d'allemand remplaçant qui, lorsque je suis arrivé en prépa, faisait le désespoir de la prof qui m'a récupéré avec un niveau désespérant, en me disant "tous les ans j'ai des élèves qu'il m'a salopé et qui arrivent avec un an complet sans faire d'allemand".

  • White Tripes le 05/01/2022 à 10h10
    Quand la fin du monde sera imminente, je ferai le tour de quelques anciens bahuts pour retrouver ces profs là qui m'ont tant fait souffrir en tant qu'élève ou en tant que collègue, et je leur ferai tâter de mon lance-flamme.

    Si tu permets que je rajoute quelques noms à ta liste je porterai le ravitaillement en Kérosène.


    Syle, autant s'habituer à avoir 9/20 de moyenne et des profs qui se foutent de savoir si leurs élèvent comprennent les cours si ta fille se destine à faire une CPGE.

  • JeanLoupGarou le 05/01/2022 à 12h07
    Ca n'est pour ma part pas du tout l'expérience que j'ai de la prépa, et je pense que sorti de la dizaine de 'grands lycées parisiens', c'est un vieux cliché qui a la vie dure, mais n'est pas forcément la réalité majoritaire.

  • forezjohn le 05/01/2022 à 12h13
    Ca a peut-être changé mais ça ressemblait pas mal à ça il y a 20 ans et pas dans les grands lycées parisiens.

  • Mevatlav Ekraspeck le 05/01/2022 à 12h36
    Il y a bien deux mondes dans les CPGE, celui (très majoritaire) des lycées standard où globalement la note est la photographie exacte de l'état d'acquisition et de restitution des connaissances, et celui des établissements qui se considèrent comme hébergeant l'élite (Paris et Versailles) où là, c'est la norme d'avoir 10 gamins qui ont la moyenne sur la quarantaine de cobayes; ils sont déjà dans une logique de classement, la note est presque anecdotique.