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Le fil dont vous êtes le héros

Amoureux des jeux de société & de plateau, qu'ils soient d'aventures, de rôles, de stratégies, de figurines, de cartes : ce fil est pour vous.

  • Utaka Souley le 25/08/2022 à 20h50
    Le doute, vertu première du scientifique:
    Je n'ai pas de source fiable à présenter.

  • Raspou le 27/08/2022 à 19h48
    Le problème en se déconnectant un mois, c'est qu'il y a trop à rattraper, vous n'arrêtez pas de jouer! Pensez un peu aux estivants, bordel.

    Du coup je me suis contenté de survoler les parties de Cush et Pavlo. Tournoi sympa de Cush, toujours dynamique et inventif (le g4 de la partie 1, mais aussi un h5 bizarre partie 2)... Ce n'est pas toujours objectivement fort, mais c'est toujours intéressant. C'est seulement dommage qu'il y ait aussi des moments d'absence comme les deux pertes de Dame des parties 3 et 6, ça fait deux défaites sans avoir vraiment pu défendre tes chances... Joué trop vite peut-être? Comment tu as géré la cadence (c'était 60mn +30s / coup, c'est ça? pas facile, ni complètement long ni rapide)?

    Pour le tournoi de Pavlo, mille bravos pour cette performance remarquable. Je blaguais il y a presque deux ans, à l'issue de notre premier match en blitz, sur le fait que si tu travaillais sérieusement les échecs, tu serais 2300 dans les trois ans. Il y avait une part de blague (à nos âges, hélas, on gagne rarement 200 points), mais pas seulement, car ça se voyait clairement que tu avais les qualités pour approcher ce niveau: outre le fait que tu es bien préparé, avec un répertoire sain et bien maîtrisé, tu étais déjà très au-dessus dans les phases de combat, pour convertir les positions avantageuses, gagner les finales, ou au contraire tenir, sauver les demi-points difficiles, et ça c'est caractéristique des forts joueurs... Ravi que cet été t'ait vu réaliser ce potentiel, ça récompense aussi le grand sérieux de ton approche, depuis le travail tactique jusqu'à la préparation physique / diététique (on jettera par contre un voile pudique sur ton recours à des masseuses est-européennes, cela ne nous regarde pas). Et il y a aussi un élément, c'est l'habitude qu'on prend à jouer régulièrement contre des gars entre 2200 et 2500 (au-dessus on les joue plus rarement): quand tu en joues un par an, c'est un événement, mais quand tu en joues 10 dans l'été, ça devient normal et tu gères beaucoup mieux ces parties... En ce sens, ta victoire au deuxième tournoi vient aussi de ton excellent parcours dans le premier.

    Hâte de vous retrouver vite pour nos petites compètes!

  • Cush le 28/08/2022 à 10h18
    Merci pour le retour Raspou!
    Sur la gestion du temps, j'avais décidé pour le tournoi de ne pas hésiter à prendre un maximum de temps de réflexion en sortie d'ouverture, qui est la phase de la partie où je suis le moins à l'aise. Donc 10 minutes pour certains coups, 15 parfois, et je me suis surpris à me dire à plusieurs reprises que 60+30 c'était pas tant que ça en fait.
    Ça a plutôt bien fonctionné pour certaines parties (les 4, 5 et 7 par exemple) où j'ai réussi à tenir tout en me réservant encore un peu de temps de réflexion pour la finale. Moins pour d'autres, comme la 3 où je gaffe alors que j'arrive en zeitnot et que je ne prends plus le temps d'analyser les menaces adverses parce que je suis entièrement focalisé sur mes possibilités d'attaque. La gaffe de la 6 c'est plutôt que c'est la seule partie où je n'ai pas respecté mon plan initial et où j'ai joué a tempo le coup que j'avais prévu sur la réponse adverse au lieu de vérifier à nouveau la position, pour abandonner avec 45 minutes à la pendule...

  • pavlovitch le 28/08/2022 à 18h12
    Ah, mais si j'avais su que c'était une blague, jamais je n'aurais consacré autant de temps et d'énergie à essayer de progresser aux échecs ces dernières années!! Ma vie aurait pris une tout autre direction, qui sait...

    Je rigole, mais sérieusement quand même, ce match de blitz a été un petit tournant dans ma vie de joueur, entre l'adrénaline générée par ce duel qui m'a donné envie d'y regoûter, tes encouragements, la mise en évidence de pas mal de lacunes de mon côté, le démarrage postérieur de notre petit cycle de tournois à cadence semi-rapide, avec une belle émulation et un bon esprit de camaraderie, etc.

    2300, ça me paraît infaisable même à long terme. Par contre, je me suis toujours dit que je devrais essayer de monter à 2200. Pour cela, il faudra continuer le boulot, donc on verra bien.

    Comme tu le dis, le résultat du deuxième tournoi de l'été doit beaucoup au premier. C'est d'ailleurs quelque chose que j'avais en tête. J'essayais toujours de me dire que l'objectif n'était pas la partie du jour, mais le prochain tournoi. Une manière de m'enlever un peu la pression.

    Ces derniers mois, j'avais affronté trois joueurs aux alentours de 2200: deux nulles avec les Noirs, une défaite avec les Blancs. Les trois fois, j'avais été complètement gagnant (pas gagnant par hasard dans une éval d'ordi vue après la partie, mais gagnant parce que j'avais dominé ces trois parties). Quoique assez dégoûté du résultat, cela m'a donné confiance en mes possibilités face à ces joueurs mieux classés. Avant cet été, mon record était d'avoir battu un 2110 elo. Très heureux d'avoir désormais battu ce record de quelques centimètr... euh, de quelques centaines de points elo!

    Il y avait aussi la gestion du temps désastreuse (au mois de janvier, j'ai perdu une partie au temps au vingtième coup), sur laquelle j'ai pas mal bossé. Bref, je n'ai pas l'impression de comprendre nettement mieux le jeu (un tout petit peu quand même), mais il y a un ensemble de facteurs qui m'ont rendu plus efficace ces derniers temps. Et puis les massages, mais ça, je vous raconte pas!

    Hâte aussi de reprendre les compétitions vraiment importantes, j'ai nommé le tournoi suisse et la coupe de Branquignolie.

  • pavlovitch le 28/08/2022 à 18h32
    Spoilons maintenant Le joueur d'échecs (au cas où vous ne l'ayez pas encore lu, ça prend environ trois euros et ça coûte une heure).

    Je ne me souvenais pas que c'était à ce point, mais en effet, le personnage de Czentovic est au-delà de la caricature.

    Zweig n'en fait pas seulement un être antipathique et inculte (avec une bonne dose de ce qu'on appellerait aujourd'hui mépris de classe), ça, on peut l'imaginer sans peine. Mais c'est "un rustre lourdaud": lent d'esprit, dénué d'imagination, et qui doit utiliser ses doigts pour compter.

    Invraisemblable s'agissant d'un champion du monde d'échecs: cette qualité n'implique peut-être pas une grande "intelligence", au sens où on l'entend habituellement, mais on ne peut pas ne pas lui supposer une certaine agilité d'esprit. Agilité incompatible avec ce portrait. On pourrait éventuellement sauver cette description d'un point de vue littéraire en la prenant pour une image un peu faussée que s'en fait un narrateur influencé par des racontars colportés par son ami. Mais ce serait pousser la charité un peu loin. Et détail révélateur, noté aussi par Label je crois, un joueur de cette force sait forcément jouer à l'aveugle, contrairement à ce qu'affirme la nouvelle.

    Dans les dernières pages, on retrouve cette image caricaturale dans le contraste établi entre ce champion du monde laborieux, qui doit faire beaucoup d'efforts pour choisir ses coups, et son adversaire pour qui tout est limpide, qui trouve instantanément les meilleurs coups et calcule beaucoup plus loin que le premier nommé. Soyons honnêtes, c'est du grand n'importe quoi.

    Le vocabulaire échiquéen est effectivement approximatif, et c'est probablement dû à une traduction paresseuse: "pion libre" (Freibauer) pour pion passé par exemple. Amusant aussi de lire le nom "Aljechin" au lieu d'Alekhine.
    Pour ce texte, le dernier récit de Zweig (paru à titre posthume), la traduction n'a pas été l'oeuvre d'Alzir Hella comme je le croyais, mais d'une certaine Jacqueline des Gouttes.
    Dans le cas du bouquin que j'ai consulté, la traduction a été révisée par les éditeurs dans les années 90. Pas terrible de n'avoir pas corrigé les erreurs initiales.

    J'ai noté plusieurs autres détails échiquéens assez intéressants dans la nouvelle.

    Czentovic aurait appris à jouer aux échecs tout seul, en regardant des joueurs déplacer les pièces sur un échiquier. C'est effectivement le cas de plusieurs champions. L'apprentissage par Capablanca aurait été similaire.

    Le jeune Czentovic arrive au plus haut niveau malgré des débuts tardifs. Ce qui ne serait plus envisageable aujourd'hui semble tout à fait possible à cette époque. Botvinnik avait appris à jouer à 12 ans. Rubinstein, vers 16 ans, semble-t-il.

    J'ai bien aimé le personnage de McConnor, le riche Écossais. Par son ego hypertrophié, son incapacité à accepter un refus ou une défaite, et son désir de revanche jusqu'à ce que la chance tourne, il fait penser à ces joueurs "en tilt", qui enchaînent les défaites par manque de lucidité.

    La cadence choisie pour les parties semble assez mal calculée: 10 minutes par coup! On pourrait dépasser facilement les 10 heures de jeu sur une partie… C'était plutôt 2h30 pour 40 coups, la norme à l'époque, il me semble.

    On arrive à un des meilleurs moments de la nouvelle, avec la deuxième partie de Czentovic contre le narrateur et ses potes, et l'entrée en jeu du personnage principal.

    La position décrite est inspirée d'une partie réelle citée par le Dr B.: Alekhine-Bogoljubov au tournoi de Pistyan (ville balnéaire slovaque) en 1922. Zweig s'était mis à lire un bouquin d'échecs pendant son dernier exil au Brésil, on devine que cette partie y était analysée. On peut la voir ici:
    lien

    On reconnaît bien au 38ème coup la position. Le pion c2 peut faire dame et les Noirs gagneraient une pièce, mais les pions passés blancs sont dangereux… Les coups joués ensuite sont exactement ceux décrits dans le texte. Ce qui estun peu facile: puisque s'il s'agit d'une position similaire, et non identique, ça ne veut pas dire que les mêmes solutions doivent nécessairement s'appliquer! Et de plus, il ne s'agit pas de coups forcés.

    Mon passage préféré est celui où Czentovic commence à se rendre compte qu'il y a un joueur dangereux parmi le groupe de ses rivaux. Qu'un adversaire, que l'on avait un peu sous-estimé, se mette à jouer une série de forts coups, fait toujours cet effet-là.

    On peut penser à cette vidéo de Kasparov dans une simultanée, quand il réalise qu'un de ses adversaires joue à environ 2200 elo, alors que les organisateurs ne l'avaient pas prévenu malgré sa demande d'informations sur ses adversaires: lien

    La force du jeu du Dr.B finit par forcer Czentovic à… s'asseoir! Un mouvement significatif, point culminant de la tension de cette partie d'échecs.
    Ça me rappelle, par contraste, le mouvement du médecin dans Amok, qui, lui, se met lui à courir au milieu d'une soirée à l'ambassade (ce qui était une manière de montrer que sa folie a définitivement pris le dessus sur son sens des convenances.)

    On passe ensuite au long flashback, ou "récit enchâssé", la marque de fabrique.

    C'est passionnant, mais les laps de temps concernant la progression échiquéenne ne sont pas crédibles.

    Un peu plus d'un mois pour apprendre à lire les parties à l'aveugle en partant d'un niveau de semi-débutant, non! Au contraire, on commence par améliorer son jeu aux échecs, donc sa visualisation de l'échiquier, et la faculté de jouer à l'aveugle vient naturellement accompagner cette progression, même si elle peut être entraînée spécifiquement.

    Moins d'un an (8 mois selon mon calcul: juillet 1938-mars 1939) dans cette obsession des échecs, ça semble laaaaargement insuffisant pour tenir tête par la suite au champion du monde. Même si cette époque a connu plusieurs progressions fulgurantes qui seraient aujourd'hui impossibles (car les connaissances requises pour jouer au haut niveau ont augmenté de manière exponentielle depuis).

    Dans les surgissements météoriques de génies de l'échiquier, on peut penser au cas du mythique joueur indien, Sultan Khan. Il arrive en Angleterre comme serviteur d'un maharadjah, et fait jeu égal avec les meilleurs joueurs de son temps. Mais détail important: cet homme excellait dans la version indienne du jeu d'échecs, et le passage à la version occidentale ne lui a tout simplement pas posé de problèmes (Cela fait penser au témoignage de Raspou ayant affronté aux échecs un champion de Shogi qui était monstrueux en tactique). Cela reste un exploit inouï, mais ce n'est pas un génie qui éclot après seulement quelques mois d'étude. Voir ici:
    lien

    J'avais aussi entendu parler d'un joueur dans l'entre-deux-guerres qui s'était éloigné de la compétition pendant des années pour analyser les parties du haut niveau, et qui en revenant, faisait partie des meilleurs mondiaux, mais je ne retrouve plus son nom, et en tout cas il ne partait pas de zéro, c'était déjà un assez fort joueur (Reuben Fine, peut-être, ou Bogoljubov).

    On peut supposer qu'une telle progression est du domaine de l'à peu près possible à cette époque-là (plus maintenant, bien sûr, sauf pour Alpha zéro), mais avec un niveau de base plus élevé et une durée de travail plus longue. Les éléments donnés ici rendent cela peu réaliste, même si on peut se laisser entraîner par l'histoire sans s'arrêter à ce détail.

    En revanche, l'obsession, voire l'addiction aux échecs, sorte de ludopathie bon marché, est bien rendue, je trouve. C'est très réel et cela fait écho aux cas des simultanéistes à l'aveugle évoqués par Label, qui tournent en rond à jouer sans cesse des parties contre des adversaires imaginaires. Ou aux joueurs de bullet qui ne peuvent pas s'empêcher de cliquer sur "partie suivante" pendant des heures et des heures (nous avons tous un peu cela en nous).

    (À noter, l'utilisation fautive du terme schizophrénie, comme si cette maladie tenait du dédoublement de personnalité.)

    Il y a un beau paragraphe sur le passage de l'image mentale de l'échiquier au jeu avec des pièces physiques: "La surprise que j'éprouvais à constater que le mouvement des pièces sur l'échiquier correspondait à celui de mes pions imaginaires ressemblait sans doute à celle de l'astronome qui a déterminé sur la papier l'existence d'une planète grâce à de savants calculs, et qui aperçoit soudain cette planète dans le ciel sous la forme d'une substantielle et brillante étoile". (Référence à Urbain Le Verrier?)

    Cela fait penser, de loin, à la transition entre jeu sur internet et jeu en présentiel, avec un vrai échiquier, face à un adversaire en chair et en os, que certains ici, de plus en plus nombreux, ont expérimenté.

    Si le jeu d'échecs n'est pas montré de façon tout à fait réaliste, je le trouve particulièrement bien utilisé dans la construction dramatique de la nouvelle.

    C'est peut-être un prétexte. Zweig évoque le nazisme et la destruction définitive du monde qu'il connaissait, mais de manière assez indirecte. Les échecs ne sont ici qu'une manière comme une autre d'échapper au monde réel. Il s'y est lui-même intéressé pendant la guerre, peut-être dans cette intention, pas de façon aussi extrême que son héros bien entendu. Difficile de ne pas penser que l'essentiel est à l'arrière-plan.

    Il racontera cette destruction de manière explicite et émouvante dans son dernier texte, Le Monde d'hier, une lecture que j'avais beaucoup aimée.

  • Utaka Souley le 28/08/2022 à 18h41
    Pavlo, une question m'obsède : quand tu joues à l'aveugle, tu "voies" l'échiquier, ou bien mémorises-tu la suite de coups ?
    Question subsidiaire : si tu "voies" l'échiquier, il n'y a donc pas de différence fondamentale avec les moments en cours de partie "normale" ou tu évalues les variantes ?

  • Label Deschamps le 28/08/2022 à 20h24
    Salut, je ne sais pas comment procède Pavlo mais en ce qui me concerne c'est un peu des deux, je visualise des diagrammes mais parfois je reconstitue des séquences de coups quand je perds le fil. Je ne me rends pas du tout compte de ce que donnerait une expérience de ce genre maintenant, j'ai essayé il y a 25 ans et c'était contre deux potes joueurs d'échecs qui jouaient aussi à l'aveugle, nous n'avions juste pas d'échiquier sous la main en attendant au RU.

  • lalizou le 28/08/2022 à 21h38
    Dans ma jeunesse, j'avais un copain qui se défendait pas mal aux échecs. Mais son grand frère le battait à plate couture, même à l'aveugle.
    Je n'ai jamais eu l'occasion de jouer contre ce frangin mais il m'avait expliqué qu'il divisait mentalement le plateau en 4, un peu comme des moniteurs de caméra de surveillance.

  • Breizhilien le 28/08/2022 à 22h17
    Je reviens sur du très terre à terre.
    Pour la prochaine saison, il nous manquerait les sieurs :
    - Label
    - Koller
    - Redtattoo
    - Owen
    - Ichnemon
    - MVP
    - Lyes

    Pouvez-vous confirmer (ou non) votre participation pour la prochaine saison. A minima ici à défaut de saisie dans le fichier.

    On a décidé quelque chose au final sur le format et le planning?

  • dan le 28/08/2022 à 23h39
    Il me semble que d'après les réactions sur le forum les participants étaient plus nombreux à souhaiter un nouveau suisse et une coupe de niveau par aller-retour que le retour à l'ancien système.

    Pour le confirmer j'ai ouvert un sondage mais il n'y a pas trop de réponses pour l'instant :
    lien