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Etoiles et toiles

Non, ce n’est pas un forum sur le PSG, même si le titre aurait sans doute convenu, mais bien sur le cinéma, pour parler de tout ce qui touche de près ou de loin au septième art.

  • Lescure le 22/12/2021 à 17h13
    Si tu trouve Solaris et Dune 2021 lénifiants je te déconseille de te frotter à L'État des choses de Wim Wenders mon pire cauchemar au ciné dans les 80's avec Le Silence de Bergman.
    Par contre je ne vois pas le rapport entre le casting de Dune et d'Homeland.

  • Label Deschamps le 22/12/2021 à 17h41
    Marrant, de la dizaine de Kubrick que j'ai vus c'est probablement Eyes Wide Shut que j'ai le moins aimé, j'ai trouvé ça un peu creux et prétentieux et je n'ai jamais apprécié Tom Cruise. Je n'en garde pas un mauvais souvenir, il y a des qualités esthétiques indéniables mais je n'ai pas trop adhéré au sujet.
    Très bon souvenir de Barry Lyndon par contre quoique lointain, beaucoup aimé aussi Dr Folamour, j'ai bien aimé Shining et même Orange Mécanique, dérangeant juste comme il faut, j'ai sûrement manqué des trucs dans 2001 mais j'ai trouvé ça intéressant quand même. Spartacus c'était bien aussi.

  • Maniche Nails le 22/12/2021 à 17h53
    C'est drôle ces histoires de ressenti.
    Complètement hermétique au cinéma d'Antionioni, de Béla Tarr ou de Losey par exemple (allez je décerne ma palme de l'ennui à Eva), mais le Silence pour le coup je pense que c'est l'une de mes expériences cinématographiques les plus captivantes avec Lynch et la Trilogie de la vie. Le pouvoir érotique de la sœur célibataire mon dieu (oui ok expression mal choisie, Trilogie de l'absence de Dieu toussa).

  • Luis Caroll le 22/12/2021 à 17h56
    Chalamet a un micro-rôle dans une des premières saisons

  • Red Tsar le 22/12/2021 à 23h26
    Je viens de vivre une expérience proche du choc de décompression : voir Un Héros, aller chercher le petit à la sortie du centre de loisirs, retourner au cinéma et voir Tous en scène 2...
    Par contre, je me suis tapé deux fois le trailer de The Lamb de Valdimar Johannsson. C'est assez intriguant. Le réalisateur est crédible ? Je crains un peu l'arnaque à la bande-annonce.

  • Jah fête et aime dorer Anne le 22/12/2021 à 23h53
    Après, d'un point de vue éclectisme, y'a Takashi Miike qui est très, très haut.

  • Tricky le 23/12/2021 à 00h25
    Dans mes bras.

    Je crois que ma meilleure expérience cinématographique des dix dernières années, c'est la nuit Dead or Alive (les trois, donc) au Roxie Theatre.

    Je regrette tellement qu'il ne soit pas plus / mieux distribué en France.

  • Red Tsar le 23/12/2021 à 08h30
    Je n'ai pas une culture cinéma aussi riche que beaucoup d'entre vous ici, ni le même niveau de maîtrise sur le langage cinématographique, donc mon propos n'est là qu'un propos d'écolier qui essaie de mettre ses idées au clair.
    En lisant les échanges, je me dis qu'il faut peut-être distinguer deux choses (peut-être qu'il faudrait en distinguer plus, mais je n'en vois que deux pour le moment) : a. la variété dans le choix des genres/sujets/thématiques traités ; b. la variété dans le langage cinématographique.

    Si on part de là, on pourrait voir différents cas :

    1. Des réalisateurs à forte unité aussi bien sur le choix des sujets/genres/thématiques que du langage. Je ne les dénigre pas du tout. Je pense à Renoir par exemple. L'essentiel de son cinéma, c'est de peindre les mœurs de son temps. Même la Marseillaise, c'est le Front populaire en costumes (Le Carrosse d'Or, je n'ai pas vu). Et son style est relativement homogène (peut-être une évolution sur la photographie, plus douce au fil du temps ?).

    2. Des réalisateurs qui varient les genres/thématiques, mais dont le langage cinématographique évolue peu (je ne dis pas non plus qu'il n'évolue pas du tout, mais on retrouve une certaine unité). Ce serait le cas de Tarentino ou de Spielberg. J'ai revu un peu par hasard les Dents de la mer il y a peu et je n'ai pas trouvé ça radicalement différent du Pont aux espions, par exemple. Encore une fois, je ne dénigre pas le fait de garder une patte sur la durée, en plus j'ai beaucoup de tendresse pour Spielberg qui filme avec toujours beaucoup d'amour et d'humanité ses acteurs/personnages.

    3. Des réalisateurs qui varient peu les genres/thématiques, mais dont le langage cinématographique évolue fortement. Peut-être Kurosawa ? Désolé si je dis des conneries, je ne suis peut-être pas un bon écolier. Mais, en gros, il filme surtout des sujets sur le Japon féodalo-mythico-mythologique. Même Les Bas-fonds est transposé à Edo. Et on retrouve surtout des thèmes récurrents. Par contre, sur le plan du langage, si ma mémoire ne me trompe pas, car j'ai vu ces films il y a pas mal de temps maintenant, Les Douze Samouraïs et Ran, par exemple, c'est deux langues très différentes, au-delà de la question de la couleur (plans serrés vs plans larges ; plans-séquences courts vs longs ; vue horizontale ou contre-plongée vs plongée...).

    4. Des réalisateurs qui changent tout à la fois de genres/sujets et de langages. On retrouverait Kubrick (si on compare les scènes de combat de Paths of Glory et de Barry Lyndon, ne sont-elles pas diamétralement opposées ?) ou Fritz Lang (de M le Maudit au Moonfleet ou au Tigre du Bengale, il y a bien des écarts...). Je n'oublie pas ce que Blafafoire a écrit, c'est de manière comparative aux autres que je mentionne ces réalisateurs comme plus variés, même s'ils ont aussi leur identité, bien sûr.

    Tout ça ne fait absolument pas de hiérarchie entre les uns et les autres à mes yeux, c'est pour essayer de comprendre les démarches de ses réalisateurs, sans dire que les uns ont raison ou les autres tort.

    Hésitez pas à contredire : comme j'ai dit, je viens comme un écolier pour apprendre, pas pour donner des leçons.


    @Jah : Takashi Miike, je découvre. Ça a l'air très... très... enfin, très quoi !

  • Maniche Nails le 23/12/2021 à 16h47
    "si ma mémoire ne me trompe pas, car j'ai vu ces films il y a pas mal de temps maintenant, Les Douze Samouraïs"

    Si ma mémoire ne me trompe pas non plus, il y a eu un remake hollywoodien de Robert Aldrich.

  • Josip R.O.G. le 23/12/2021 à 16h59
    Sauf si c'est un joke, auquel cas je vous présente mes excuses pour la lourdeur, ce sont Les Sept Samouraïs de Kurozawa et le remake, de John Stuges, les sept Mercenaires