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Etoiles et toiles

Non, ce n’est pas un forum sur le PSG, même si le titre aurait sans doute convenu, mais bien sur le cinéma, pour parler de tout ce qui touche de près ou de loin au septième art.

  • Le génie se meurt ? Ah mais l'mage rit le 21/12/2021 à 11h25
    Cette digression musicale me fait penser à un film atypique. Son titre, est le titre d'une chanson de Bruce Springsteen. Pendant le film, est évoquée cette chanson, notamment lors des obsèques de la mère du "héros". Et pourtant, cette chanson n'est jamais entendue bien que toujours présente à l'esprit. Il s'agit de Thunder Road.
    Bon sans doute que ce film américain indépendant n'avait pas les moyens de s'acheter les droits et donc qu'il a dû ruser, c'est sûr.
    Quoi qu'il en soit, et pour ceux qui aime le côté barré des films de Dupieux mais avec un brin plus de réalité et d'émotions dedans, vous allez aimer ce film sur un flic américain moyen à la dérive.

  • lalizou le 21/12/2021 à 13h13
    Ah Solaris... tu ravives un beau souvenir.
    Du temps où j'étais un petit con de lycéen fumiste, un petit festival SF s'était programmé dans le cinoche art & essai du coin. Je ne me souviens plus du thème mais Solaris y était. Séance unique.
    Je n'avais alors absolument jamais entendu parler du maître. Me suis pointé à l'improviste, totalement ignare et en retard de surcroît. Il ne restait qu'une place à la 1ère rangée, le film venait juste de démarrer.
    Pffiou... la vie est bien faite parfois.

  • Joswiak bat le SCO le 21/12/2021 à 18h34
    Ah oui, tiens, j'avais oublié ça, Solaris. Dans mon top 3 d'ennui mortel au cinéma.
    Ah, au sujet de ce top 3, je viens d'apprendre dans Question pour un champion que l'insipide acteur principal du non moins lénifiant Dune, en fait, je le connaissais déjà, dans Homeland.

    A part ça, rien.

  • Josip R.O.G. le 21/12/2021 à 18h56
    C'est quoi les deux autres?

  • Pascal Amateur le 21/12/2021 à 22h14
    Solaris de Soderberg, et Solaris de Madison.

  • Utaka Souley le 21/12/2021 à 22h28
    Quelqu'un a évoqué Ran, de Kurosawa, que j'ai vu au ciné à sa sortie. Peu de films m'ont marqué comme celui-là; le seul qui refait surface dans l'océan de mes souvenirs, c'est La Forêt d'Émeraude, de Boorman. Peut-être parce-qu'ils me rappellent les années de cité-U et le cinéma de Montpellier dont j'ai oublié le nom sur la place de la Comédie.

  • Jah fête et aime dorer Anne le 21/12/2021 à 23h07
    En fait c'est parce qu'il a adoré le bouquin.

  • JauneLierre le 22/12/2021 à 15h11
    Dans les réalisateurs hétéroclites actuels, comment ne pas citer Paul Thomas Anderson, que je préfère finalement à son homonyme Wes. Ce n'est peut-être pas un hasard de retrouver Daniel Day-Lewis dans deux films très différents que sont There will be blood et Phantom Thread. The Master et Inherent Vice sont aussi très bons. S'il fallait rapprocher un réalisateur actuel de Kubrick, ce serait lui. Autre réalisateur qui a touché à presque tous les genres : Michael Winterbottom. Avec plus ou moins de réussite. Je suis loin d'avoir tout vu mais avais été marqué par Butterfly Kiss et avais apprécié 24 Hour Party People et The Killer Inside Me (avec Casey Affleck).

  • Le génie se meurt ? Ah mais l'mage rit le 22/12/2021 à 16h29
    Est-ce qu'on peut parler de réalisateur hétéroclite pour Zemeckis ?

    Un film d'aventure : à la poursuite du diamant vert
    Un film de SF : Retour vers le futur
    Un film de comédie/animation : Qui veut la peau de Roger Rabbit ?
    Un film comédie dramatique : Forrest Gump
    Un film de survivant/drame : Seul au monde
    Un film inspiré d'une histoire vraie : Flight

    (bon ok, il a aussi fait quelques films que l'on désignera par le terme plutôt sobre de "mineurs")

  • Aristofan le 22/12/2021 à 16h53
    Tu plaisantes peut-être, mais personnellement le livre m'avait tant marqué que je n'ai guère été conquis par le film de Tarkovski. C'est même probablement le Tarkovski que j'aime le moins, il ne rend pas la matière émotionnelle assez déchirante du livre.

    Pour Barry Lindon, quelqu'un évoquait l'agonie de son fils, quelle scène déchirante, elle me tire les larmes à chaque fois.
    Barry Lindon est peut-être le meilleur film de tous les temps, ce qui est un exploit, vu que ce n'est même pas le meilleur film de Kubrick. 2001 est encore au-dessus pour moi, grâce à Hal 9000. Et j'ai aussi une passion pour Eyes Wide Shut.
    Et je rejoins ceux qui trouvent le style de Kubrick très identifiable, malgré l'éclectisme des sujets. Cela vient bien-sûr de ses début de photographe, son sens du cadre est incroyable, tout comme sa lenteur opératique.

    Je ne sais plus qui citait Coppola, que je trouve aussi très éclectique, et même plus dans la forme que Kubrick : rien à voir entre la folie d'Apocalypse now et la grandeur du Parrain, le kitsch de Coup de cœur et la dureté de The Conversation. Peut-être simplement retrouve-t-on un côté "bricolé" qui fait la force et la fantasmagorie selon moi de son cinéma, et là je pense à Rusty James, Twixt, Tétro (quel film !) ou bien sûr Dracula.