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Observatoire du journalisme sportif

Le défouloir pour les "frustrés" de la plume et du micro.

  • Pierluigi Scollina le 19/04/2024 à 09h00
    Merci Radek, c'est intéressant. Je ne vois pas trop ce qui empêche d'appliquer l'option "tu te dis que l'arbitre connaît la règle" mais j'imagine que ça tient du réflexe contestataire.

    Sur le fait d'expliquer leur job aux journalistes je ne parlais pas des Cahiers mais des arbitres. On parle avec eux en off même si il y a une forme de réticence partagée des deux côtés mais la critique publique ne fonctionne que dans un sens.

  • cachaco le 19/04/2024 à 16h32
    Lequipe.fr: "Tout comme Stuttgart, surprenant troisième. Serhou Guirassy et ses coéquipiers sont bien partis pour renouer avec la Ligue des champions, vingt-quatre ans après leur dernière participation."

    Je veux bien qu'on soit pas tous spécialistes de foot allemand, mais passer à côté du titre de champion de 2007 et oublier le huitième de finale contre le Barça en 2010, ça fait pas très sérieux. J'espère que c'est une simple coquille dans l'article.

  • fabraf le 20/04/2024 à 17h54
    Ce n'est pas si commun d'avoir 2 clubs français en demi de la plus grande compétition européenne dans un sport, qui plus est le plus populaire... Vraiment dommage qu'aucune chaîne, notamment du service public, ne daigne diffuser le Lyon - PSG en demi aller de C1 (début à 19h).

  • CHR$ le 20/04/2024 à 18h07
    C'est-à-dire qu'il y a une chaîne qui détient les droits de la compétition (DAZN) et qui n'a probablement ni l'envie ni le droit de les vendre à la découpe.
    Et sinon le match est visible gratuitement sur le site de la chaîne (à condition toutefois de s'inscrire). Comme l'ensemble de la compétition.

  • fabraf le 20/04/2024 à 18h20
    Pourtant dans de nombreux cas (j'ai en tête le hand ou le basket), les chaînes en clair n'hésitent pas à acheter la demi et l'éventuelle finale pour proposer le match en co-diffusion. Il est vrai que ça concerne uniquement les compétitions masculines. Mais bon, à quelques mois des JO, ça aurait été sympa de faire un petit effort (sachant que le match ne doit pas coûter bien cher).

    (Comment fais-tu pour avoir la chaîne gratuitement ? Perso, on me demande mes infos de paiement.)

  • Gouffran direct le 20/04/2024 à 19h37
    VPN monsieur.
    Super facile et aucune info à mettre.
    Je regarde ça sur YT en HD.
    Moi c'est le contraire. VPN débranché car IP au Canada, mais si je veux mater Kiplé et la L2, je mets le VPN avec IP en France.
    35€/an à peu près.

  • fabraf le 20/04/2024 à 19h50
    Merci Gouffran ! J'ai du mal avec les VPN (pourtant ça semble être un jeu d'enfant) mais j'ai réussi (comment ?) à voir le match sur YT.

  • Pascal Amateur le 20/04/2024 à 20h13
    Quelqu'un ici m'avait indiqué que le VPN était intégré au navigateur Opera. Pratique.

  • fabraf le 20/04/2024 à 21h33
    Ah je vais essayer, merci Pascal.

  • CHR$ le 21/04/2024 à 08h55
    Amusant édito de Régis Testelin dans L'Équipe du jour. Sa thèse est que les épopées des Verts de 75-76 sont la matrice de l'âme des clubs français en Coupe d'Europe : "Le football français de clubs contemporain - et par extension celui de la sélection tricolore - est parti de là, de Saint-Étienne et de nulle part ailleurs, berceau de la culture française européenne, pionnier d'un savoir être face à la concurrence et d'un savoir-remonter-les-situations-les-plus-compromises"

    Alors bien sûr il admet lui même en préambule qu'"il s'agit d'un réflexe de vieux monsieur" et évidemment, il s'agit d'un billet d'humeur pour rappeler qu'on peut trouver les mêmes émotions pour un doublé d'Irvin Cardona dans un match de Ligue 2 que dans un de Kylian Mbappé en Ligue des Champignons.

    Mais outre que les Verts de 76 sont certainement beaucoup plus près - et pas seulement chronologiquement - du Reims de 56 que du PSG actuel, ce qui rend le terme "contemporain" difficile à justifier autrement que par un point de vue de "vieux monsieur" né entre Reims et Saint-Étienne, outre cette chronologie donc, si Saint-Étienne a initié une culture européenne des clubs français, ça ne peut guère être autre chose que celle de ne pas réussir à gagner des finales (deux sur quinze si mes comptes sont bons, la moitié des buts des inscrits jusque-là par des clubs français en finale de Coupe d'Europe l'ont été par Reims au bout d'une heure de la première finale de la première Coupe d'Europe).
    Parce que pour le reste, faire de la capacité à retourner une situation une constante française en Coupe d'Europe sur la foi du match du PSG à Barcelone (et de celui de Marseille, dont la remontée a consisté à l'emporter d'un but à domicile et à ne pas perdre aux tirs aux buts), c'est un peu osé. Cela a été noté, cette capacité française à remonter une défaite à domicile a connu mardi sa cinquième occurrence depuis 1976 (et depuis 1956 aussi), c'est quand même beaucoup moins que de situation pas tellement compromises et pas remontées.