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Critiques d'albums, révélations, concerts et auto-promotion...

  • Aulas tique le 20/05/2023 à 20h33
    Hasard des algorithmes, je suis tombé sur ça concernant Renaud :
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    Son supportariat d'Anderlecht m'avait échappé.

  • mr.suaudeau le 22/05/2023 à 20h23
    Quitte à repasser une tête ici, autant ne pas s'en tenir à une tentative de revente foireuse (la place pour les Arctic Monkeys est bien partie, merci quand même messieurs). Et pourquoi pas un CR de festival ? Enfin juste le jour 1 pour l'instant.

    The Great Escape, c'est un nom qui doit parler à tout le monde ici. Mais pas forcément pour avoir donné son nom à un festival printanier à Brighton. Le principe : 500 artistes n'ayant (sauf rares exceptions comme Arlo Parks, les Pretenders ou encore les chouchous Sorry et The Murder Capital) pas encore sorti leur premier album, programmés dans des dizaines de lieux différents du centre-ville sur trois jours, souvent pour y jouer plusieurs fois, sur des créneaux de 30 minutes, y compris en dehors du programme officiel pour ceux qui suivent les alertes sur Instagram (ou croisent les bonnes personnes dans les bons bars).

    Si on enlève l'armée de nouveaux Ed Sheeran "super-émouvants" et de nouvelles Adèle sous autotune, on est globalement sur du bon gros indie UK avec en bonus du rappeur très sérieux et quelques freaks. On remarque aussi une volonté de faire entrer les femmes en masse dans la programmation avec un nombre impressionnant de groupes mixtes ou entièrement féminins. Plus douteux : la quantité de groupes qui pensent que le saxophone c'est une bonne idée.

    C'était les 11, 12 et 13 mai derniers et une condition physique optimale est requise pour passer sa journée à faire les trajets (autant vous dire que mes mollets furent portés disparus dès le vendredi soir) et espérer atteindre le faramineux total de 35 artistes vus, soit 7% du programme (mais presque 50% de ma short-list préparée à l'avance).

    Jour 1 : trajet Lyon - Brighton comme sur des roulettes, juste le temps de poser la valise et c'est parti pour le premier concert de 12h30 sous un soleil accueillant. [Nom de l'artiste puis lieu entre parenthèses]

    Sam Akpro (Shortt's Bar)
    Ce bar est tellement minuscule qu'on est juste 10 personnes, journalistes compris, alignées devant le groupe sur deux rangées. 5 petits gars débraillés, probablement en deuxième année de socio, jouent un rock atmosphérique et sombre au service d'un nabot au chant fragile, habité jusqu'aux dreads. La légère tremblote du guitariste principal disparaît avec les minutes et ne peut masquer une créativité qui, dès ce premier concert, renvoie les tremplins et autre buzz boosters français à la déchetterie. Trop de talent au mètre carré.

    Man/Woman/Chainsaw (Inn On The Square)
    C'est sur une placette ensoleillée au bout d'une ruelle que se trouve l'entrée de ce joli bar rénové, déjà plein à 13h15, où la dénommée Sienna Melella a encore deux berceuses folk à livrer. Les membres de Man/Woman/Chainsaw attendent dans la foule avec leurs instruments et ne tardent pas à les brancher pour enflammer le bar de leurs compositions rock foutraques mais étonnamment matures pour trois jeunes filles et deux jeunes gars qui ont dû depuis retourner réviser leur bac de philo. Un petit côté Black Country New Road quand c'est le gars qui chante.

    The New Cut portés disparus au Hope & Ruin puis Projectors inaccessibles au East Street Tap pour cause de jauge atteinte, direction le bar des supporters monégasques.

    Gurriers (Prince Albert)
    Chouette bar juste derrière la gare avec sa salle de concert carrée, non pas en sous-sol mais à l'étage. Le guitariste central très hipster "retour de pêche" avec son combo mulet/petite moustache est irrésistible mais c'est le chanteur, sous ses airs de geek renfrogné, qui aimante l'attention. Ce punk un tantinet groovy tape fort, joue fort, et le gars scande énervé : on sent qu'il aimerait bien nous en mettre une et que le jour où la foule connaîtra les morceaux et les textes, ça peut partir en cacahuète.

    Dust (Komedia Basement)
    "Hello we are Dust, from Newcastle", mais Newcastle en Australie. Si on enlève le saxo, les bouclettes trop fournies et le manque d'implication au chant, on est sur du très lourd niveau charisme, une belle cohésion et une transpiration qui sent déjà l'expérience. Leur post-punk sonne un peu moins sombre que sur disque, prend plus le temps, ce qui relève une sauce déjà de qualité.

    Super Duty Tough Work (Jubilee Square)
    C'est juste de l'autre côté d'une ruelle en sortant du Komedia que joue la révélation hip-hop issue des écoutes préventives au festival. Excellent groupe de rap de puristes avec vrais instruments, hélas (1), le leader a décidé de prendre 5 minutes pour apprendre au public une ligne mythique de B.I.G. et hélas (2), je fais le choix désastreux de filer vers la plage pour ne pas rater le début du concert de Coach Party… inaccessible pour cause de queue de 200 mètres à l'entrée.

    Whitelands (Paganini Ballroom)
    Cette salle au charme princier mérite bien d'accueillir Steve Lamacq en personne pour présenter une série de concerts "BBC6 Presents". Et ça commence par Whitelands, Londoniens shoegazers jusqu'au bout des Dock Martens. Aucune plus-value du côté de la batterie simpliste mais on apprécie la classe d'une bassiste discrète et souriante. A noter que leur bande de potes tous pics dehors façon "Quand on arrive en ville", venus les invectiver gentiment au premier rang, n'a pas réussi son coup face un chanteur/guitariste imperturbable et se sont barrés avant la fin.

    Divorce (Paganini Ballroom)
    Ma jeune star Heartworms joue dans deux heures sur la plage et vu la file d'attente l'après-midi pour y entrer, je laisse Divorce après un emballant Services initial.

    Prima Queen (Amazon New Music Stage)
    Erreur de débutant : les festivaliers veulent en fait juste passer l'après-midi sur la plage, le soir il fait trop frisquet. Aucune file d'attente donc et c'est l'occasion d'observer de loin des artistes pas prévus au programme, ici du pop-rock de bonne facture menés par un duo féminin de qualité.

    O. (TGE Beach Stage)
    Oui, il y a deux scènes sous chapiteau sur la plage, et même une troisième en extérieur pour l'après-midi. O. est un duo mixte saxo-batterie qui offre un peu d'originalité et les multiples effets sur l'instrument principal lui permettent d'éviter la lassitude d'auditeurs clairement pas venus pour écouter du jazz. Quant à la seconde moitié du duo, sa virtuosité aux baguettes n'a d'égal que la beauté de sa longue chevelure blonde, mais c'est un avis personnel.

    Rose Gray (Amazon New Music Stage)
    Alors en effet, j'étais vraiment très en avance et on enchaîne une troisième artiste imprévue et la seule du week-end dans la catégorie "new Katy Perry". Rien à envier niveau plastique, bien meilleure vocalement, il y a même une vraie guitariste et un vrai batteur. Mais comment résister à la mise en place et aux répétitions de Heartworms ?

    Heartworms (TGE Beach Stage)
    D'autant qu'il faudra re-re-re-changer de chapiteau avant la fin pour motif impératif. Nouvelle coiffure courte et en bataille pour la jeune Jojo, tout de noir vêtue en future icône gothique. L'enchaînement 24 Hours / A Comforting Nation est entrecoupé d'un problème technique qui méritait d'être réglé, histoire de bien percer les tympans des 300 présents sur le passage "Remove the chains, my wrists are in strain". La meuf a un pouvoir dans sa voix, elle fait de son auditeur sa chose. Concernant son groupe, il ne leur manque plus que les chaînes autour du cou et un boulet au pied. Une potentielle grande dame du post-punk sans frontières.

    Sorry (Jeff Bezos' New Music Stage)
    C'est peut-être le fait de cumuler les prestations de jeunots toute la journée mais à la seconde où le tube Starstruck, joué d'entrée, retentit, c'est comme si les patrons avaient débarqué à Brighton pour mettre tout le monde d'accord. Une prestation puissante, carrée dans le bordélique, portée par le leadership total d'Asha, l'acolyte Louis s'étant mué en guitariste discret sur le côté. Un set malheureusement écourté pendant Baltimore, terminée en semi-acoustique à cause d'un couvre-feu à 23h en centre-ville qui débranchera le groupe sans prévenir.

    Le sprint de la plage vers le Horatio's Bar n'aura pas suffi : le concert de Lime Garden est complet et je dois vivre avec l'immense déception de manquer la performance des chouchoutes locales.

    Deadletter (Komedia Basement)
    12 titres à leur répertoire répartis en quelques singles sortis sur quatre années mais la hype est là. Zac Lawrence le chanteur a une vraie dégaine de star des 60's. Torse nu dès le 2ème morceau, musclé sec, habité, la gouaille, il donne de sa personne et son groupe suit avec son post punk fédérateur à saxo (hélas). Le Komedia retourné, il faut maintenant encaisser la différence de température sur le trajet du retour pour aller se coucher.

    Si personne ne proteste contre cet envahissement de fil, ce name-dropping, qu'on croirait issu d'un générateur automatique de noms de groupes anglais, se poursuivra dans la semaine avec le CR des jours 2 et 3.

  • Lescure le 23/05/2023 à 10h58
    Sorry joue d'ailleurs le samedi 19 août à la Route du Rock, certainement sur la petite scène et malheureusement pas le même soir que King Gizzard (c'est le jeudi pour mes aussies pref).
    Je n'irai que le jeudi qui propose la plus chouette prog (Dry Cleaning, Vigra Boys, Gilla Band), et ça me permet d'aller au festival de Malguénac le samedi pour Casey et AUSGANG + Jupiter & Okwess et la sublime Sélène Saint-Aimé que je recommande chaudement depuis déjà 3 ans :
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  • rockitrOM le 23/05/2023 à 13h33
    Sélène Saint-Aimé : merci pour la découverte. Une musique réjouissante

  • Hydresec le 23/05/2023 à 14h15
    Merci pour le brillant compte-rendu, on s'y croirait. La Jeff Bezos stage, c'est un faux nom pour rigoler ?

  • Cheerman le 23/05/2023 à 14h21
    Un merci global pour tout les contributeurs ici, ça permet de connaitre de nouveaux sons, c'est sympa !

    Je plussoie comme on ne dit plus depuis longtemps pour Dust, ils sont venus sur Orléans, ville du Rock par excellence (hum hum...) et ça donnait vraiment pas mal en live, surtout quand on prend en compte que le public n'était pas forcément le plus chaud de leur tournée.

    Curieux de lire la suite!

  • Lescure le 23/05/2023 à 18h26
    Un petit rappel sur l'excellent Binic Flok Blues Festival 2023 avec un retour au bord de l'eau dans ce merveilleux petit port de pèche. Il y aura une scène en moins et il faudra payer 25€ mais pour 3 jours de festoche et dans des conditions au top (en 2019 le festival avait atteint une taille critique)
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    J'y serai les trois jours et bien disposé à boire une bonne Coreff bien fraiche avec mes cofilaires.

  • mr.suaudeau le 23/05/2023 à 20h02
    Veinard quand même, c'est pas demain qu'une salle lyonnaise essaiera de les faire venir...
    D'ailleurs j'aurais dû écrire dust (sans majuscule). Et comme vous avez été choux, voici le CR du deuxième jour.

    [THE GREAT ESCAPE FESTIVAL]

    Jour 2 : pluie légère, grisaille permanente, 8°C à l'ombre, pas un temps à passer la journée à la plage.

    Coach Party (Komedia Basement)
    Pas évident de faire de la musique avec 1 musicien et demi sur 4, dont cette seconde guitariste qui ne sert absolument à rien. Mais enfin, en équilibre précaire entre un bon indie goguenard et du FM influence Blink 182, ce double-duo filles/garçon tient la route, avec même quelques tubes en puissance. Une bonne tête de plaisir coupable.

    Bibi Club (Prince Albert)
    Les voir à Lyon en têtes d'affiche gratuite dans un tout petit bar en avril m'aurait sûrement évité de rater English Teacher à la Fabrica sur le créneau suivant mais replongeons dans ce délicieux moment montréalais, débuté par La Nuit : les accords voyageurs de Nicolas se mélangent tellement bien avec le clavier enchanteur et la voix rêveuse d'Adèle que la boîte à rythmes pas chère en fond ne fait même pas tache dans le décor.

    Anna B Savage (solo) (Queens Hotel)
    Des lots de consolation comme ça après s'être fait refouler pour English Teacher, je prends tous les jours. Sept ans que j'attendais de la voir et même si son style vocal est devenu excessivement ampoulé à mon goût, chaque interprétation de cette folk plus qu'intimiste, carrément intime, fait l'effet d'une sacrée tarte dans la gueule, de plus dans ce lieu tout mignon.
    Il est désormais 16h et vu l'affiche prévue sur la plage entre 17h et 23h, c'est le bon moment pour s'assurer d'en être…

    Modernlove (MVT Stage)
    …quitte à commencer par le pire groupe de la Terre, le seul qui m'aura vraiment inspiré du dédain sur les trois jours. Les Jonas Brothers irlandais récitant le cahier des charges "groupe d'indie-rock de 2005" en version "je suis trop à fleur de peau, est-ce qu'elle voudra bien sortir avec moi ?", armés de coiffures façon Hartley Coeurs à Vif. 1/20 pour avoir tenu le rythme avec conviction en extérieur par 10°C et donner à voir enfin le premier gaucher de tout mon week-end.

    Modern Woman (MVT Stage)
    C'est presque le même nom, c'est au même endroit mais on est 12 crans au-dessus niveau talent. Osons même nous exclamer : c'est quoi cette meuf ?! J'y connais rien en Fiona Apple mais je pense que cette Sophie Harris en a un peu avec son alternance chant profond/parlé assuré et ces chansons dont on sait jamais dans quelles directions elles vont partir. Son groupe (masculin) est au diapason de ses volontés et elle aura balayé ce vent froid avec autorité.

    STONE (Amazon New Music Stage)
    Mes petits scousers n'ont même pas sorti leur premier album qu'ils semblent déjà virer du côté rock de stade et ma foi, ça leur va bien. Le chanteur est toujours aussi moyen mais difficile de résister à cette énergie et aux riffs ravageurs du guitariste, dont la gestuelle rappelle forcément le grand Russell Lissack.

    86TVs (Amazon ta mère)
    Très, très attendu, le retour sur scène des deux frères guitaristes de feu-The Maccabees aura suscité bien des sourires heureux et bienveillants, dans le public comme sur scène. Hélas, le résultat m'a semblé inversement proportionnel aux attentes : le troisième frère au chant/basse est chiant comme la mort, le batteur pas ouf et surtout les chansons, toutes inédites, ne m'ont pas excité grand chose.

    Divorce (TGE Beach Stage)
    La raison m'oblige à renoncer aux prometteurs Egyptian Blue, qui jouent de l'autre côté de la ville. Délaissés trop tôt la veille, Divorce méritaient leur chance sur la foi d'un premier EP presque parfait, dans lequel je n'avais pas détecté à ce point l'influence country sur les harmonies vocales. On voudrait que Felix (le guitariste) et Tiger (la bassiste) mêlent leurs voix toute la nuit tellement c'est beau, bien construit et ça fait voyager, le chant guidant fluidement leur rock malin vers des refrains jouissifs (et bien trop courts).

    The Luka State (Bezos tu connais)
    Je suis là vraiment juste pour patienter avant mes gars sûrs de Humour. Ça valait quand même le coup de voir les Stereophonics rajeunis de 20 ans après une overdose de botox.

    Humour (TGE Beach Stage)
    Comme dit Joe à côté de moi, "comment on peut s'appeler Humour et en avoir aussi peu ?" Vu la gueule de leur premier et très réussi EP, on pouvait s'attendre à un chanteur un peu autiste, mais peut-être pas aussi mutique. Les deux guitaristes qui tournent le dos au public la moitié du temps, c'est pas terrible non plus. Mais on mettra ça sur le dos de l'inexpérience et de la timidité, parce que musicalement, le post-punk hystérique de Humour pointe clairement dans le Top 10 de mon festival.

    The Murder Capital (Chapiteau amazonien)
    Allez, ADIEU. Un moment pour l'éternité, et brisure des cordes vocales sur Ethel, malheureusement comme prévu, mais encore plus que prévu avec cette setlist construite pour tout détruire. Des putains de patrons.

    Skinner (Latest Music Bar)
    Enfin de retour au chaud, je m'attendais à un beau-gosse assisté de musiciens de studios mais c'est un gringalet irlandais qui se présente accompagné d'un groupe de gars aussi talentueux que lui pour l'accompagner vers le destin d'un mini King Krule. On n'y est pas encore mais déjà c'est bien roux, c'est humble et parfois funky, et ça sait te cuisiner pendant 3 minutes avant de t'emballer dans le final.

    FEET (Waterbear)
    Recalé au même endroit pour voir CIEL (cause jauge atteinte bien sûr), cette fois je passe le cut à 2 minutes du début, non sans avoir dans la file croisé Steven Ansell, le batteur/chanteur de Blood Red Shoes, dont CIEL sont les protégés. Mon apostrophe publique s'est pris un bon vent et ce club est vraiment trop petit mais pas de quoi m'empêcher de kiffer la nonchalance virtuose des gars de FEET, trop branleurs pour pousser leurs tubes en radio/medias, à moins qu'ils n'en pondent juste trop.

    [à suivre...]

  • impoli gone le 24/05/2023 à 20h52
    Bordel, Tina...

  • El Mata Mord le 24/05/2023 à 21h05
    Snif...
    J'avais montré ça à mes enfants il y a quelques temps :
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