Lyon-Lens : l'effroyable vérité
Les enjeux étaient trop importants, l'histoire était écrite d'avance et le titre ne pouvait pas échapper à l'OL de Jean-Michel Aulas, qui a étendu ses tentacules dans toutes les sphères du football français. Lyon n'a pas gagné ce match est n'est pas champion de France. Nous avons les preuves de cette odieuse manipulation.
Auteur : Eugène Santa et Etienne Melvec (pcc Thierry Meyssan)
le 5 Mai 2002
La version officielle de Lyon-Lens, telle qu'exposée unanimement par les médias, ne résiste pourtant pas à un examen attentif des éléments à notre disposition et d'informations retrouvées sur Internet (www.asse.fr). Un match composé de toutes pièces
Nul n’est besoin d’avoir un œil averti pour déceler dans les images filmées par Canal+ une véritable duperie. Dès la 8e minute, Sydney Govou est ainsi censé inscrire un but d’une frappe du droit à l’entrée de la surface de réparation. Un rapport balistique réalisé par un laboratoire indépendant montre qu'il est physiquement impossible que le ballon soit rentré dans les filets Lensois. Ainsi, la position des joueurs ferme totalement le but à l’attaquant Lyonnais. Le ballon n’aurait donc pu pénétrer dans le but qu’en raison d’un vent violent soufflant de la gauche, ce qui est démenti par la coupe de cheveux de Jean-Guy Wallemme à cet instant, orientée dans l’autre sens.
D’ailleurs, sur des images d'un caméraman suédois placé derrière les cages, il est clair que le ballon file à côté du poteau droit de Guillaume Warmuz. Visible subrepticement lors du direct, cette image a été coupée et ne figure pas dans les résumés proposés tout le week-end par les différentes chaînes de télévision. Autre élément troublant, c'est un Lyonnais qui marque le but lensois. Selon plusieurs agents russes, l'imbroglio autour de la sélection de Bak a servi à cacher le fait que le Polonais a tourné à l'avance la scène de son but, entièrement réalisée dans les studios de George Lucas. A la 75e minute, un plan furtif laisse également voir que c'est Daniel Leclercq qui est sur le banc, et non Joël Muller. Ce sont des images de 1998 qui ont servi à ce grossier montage. Quant au troisième but lyonnais, il est bizarrement la réplique à l'identique d'un but Serge Chiesa marqué contre Angoulême en 1974. A plusieurs reprises, on voit d’ailleurs que l'arbitre de la rencontre est Robert Wurtz et non Gilles Veissière. On doit aussi noter que les coupures de la retransmission sous prétexte de multiplex étaient l'occasion de changer les bobines du match falsifié, à la manière d'Hitchcock dans "La corde". Là encore, manipulation grossière ! Enfin et surtout, qui va croire que Philippe Violeau peut marquer un but sur une reprise de volée, sans que personne ne s'en étonne? Des scènes de joie totalement fictives
Comme souvent dans ce genre de circonstances, ce sont de petits détails qui révèlent les supercheries. L’un des éléments clefs de celle de ce week-end est d’origine textile : les T-shirts portés par les joueurs lyonnais après la victoire constituent un autre élément à charge. Plusieurs spécialistes de la confection nous ont affirmé que le délai de quelques minutes n'était pas suffisant pour réaliser un tel nombre de pièces. Ils avaient été fabriqués avant le match : tout avait donc été préparé à l'avance! A la fin du match, le soi-disant brouillard des fumigènes a permis de camoufler le trucage numérique d'un public déchaîné envahissant le terrain. De plus, les images montrant Jean-Michel Aulas souriant et sympa prouvent le bidonnage. Quant aux personnes interviewées après le match, la plupart d’entre elles étaient des proches de l'entourage du club lyonnais. Comment se fait-il qu'aucun Lensois n'a été interrogé par les caméras complices? Il est d’ailleurs important de souligner que plus de 24h après la partie, on est toujours sans nouvelles des 2000 supporters lensois présents dans les travées de Gerland. Le gouvernement, la Ligue nationale de football ainsi que la direction de l’Olympique lyonnais auraient sans doute beaucoup à dire sur cette disparition inexpliquée.
Dans le même registre, l’un des rares Lyonnais à avoir remis en cause la version officielle de cette soirée semble avoir subi la pression de son entourage. Car sur le T-shirt d'Edmilson, il fallait lire non pas "Jesus", mais "JE SUSpecte une tricherie", le bas du texte ayant été volontairement caché par le cadreur. Le défenseur Brésilien est injoignable depuis samedi soir. Enfin, les scènes d’effusions sur la Place Bellecour constituent évidemment un faux grossier. Ce soir-là, celle-ci était fermée pour travaux et Daniel Buren a refusé que des images soient retransmises de la Place des Terreaux. A qui profite cette scandaleuse manipulation?
Selon nos informations, et après une analyse complexe des divers éléments en notre possession, nous pouvons affirmer que cette incroyable imposture avait évidemment pour objectif de légitimer la honteuse politique de Jean-Michel Aulas à la tête de son club, mais également de favoriser la fusion entre Renault Véhicules Industriels, sponsor de l’OL et Canal+, et de resserrer les liens au sein du lobby automobile et autoroutier. On peut remarquer que le pneumaticien Continental est également partenaire du club lyonnais. Cette thèse est également confirmée par le départ d'Opel comme sponsor principal du PSG, annoncé jeudi dernier. Tous ces industriels veulent en outre peser dans la région Rhône-Alpes afin d'obtenir la réouverture totale aux poids lourds du tunnel du Mont Blanc. Ce n'est pas un hasard si les deux ministres communistes (de la Jeunesse et des Sports et des transports) se sont particulièrement impliqués dans le dossier. La date de ce dernier match du championnat n’a évidemment pas été choisie au hasard, puisque cette conspiration anti-lensoise devait impérativement intervenir avant le deuxième tour des présidentielles et le possible départ de ces deux ministres. Notons que la présence d'agents arméniens montés de Valence laisse planer le doute sur le rôle précis de Youri Djorkaeff dans cette histoire. Ce ne serait pas la première fois que Lyon serait ainsi mêlé à des histoires inexplicables. On a ainsi été incapable de retrouver la ville de Liberec sur une carte d'Europe. Par ailleurs, une source interne nous a également indiqué qu’Eric Carrière n'aurait même jamais été transféré à Lyon, ce qui explique qu'il n'ait disputé que quelques minutes du match, le coût des images de synthèse pour insérer sa silhouette étant trop élevé. Aujourd'hui, des hypothèses encore plus troublantes reviennent à la surface, quant au caractère virtuel de la ville de Lyon, qui est attesté par le fait que nous ne connaissons personne qui vienne de cette ville. Réfléchissez bien. La semaine prochaine, nous vous expliquerons comment les médias nous font croire depuis quatre ans à l’existence de Jérôme Bureau et Aimé Jacquet, alors qu'ils ne sont qu’une seule et même personne manipulée par Jean-Claude Darmon.