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Feuilles de match et feuilles de maîtres

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  • Jean Christophe Tout vénal le 03/03/2010 à 12h29
    Plutôt qu'une "compréhension" de l'œuvre originale, on peut souvent parler de "re-création" pour les traductions (pardon pour le néologisme moche). Un des meilleurs (et des plus extrêmes) exemples de ce point de vue est la traduction du "Moine" de Lewis par Antonin Artaud, bien supérieure à l'original en anglais (d'après les critiques, puisque ne lisant pas l'anglais, je n'ai pas lu l'œuvre en VO...).

  • Jean Christophe Tout vénal le 03/03/2010 à 12h30
    Et là je prends un demi point.

  • ravio le 03/03/2010 à 12h32
    Autre exemple. Ce soir, je vais voir France-Espagne, au Stade de France. J'ai pourtant peur de n'assister qu'à une pâle traduction du France-Espagne de 2006, pourtant vu à la télévision.

  • scarbo le 03/03/2010 à 12h38
    ravio
    mercredi 3 mars 2010 - 12:28

    Mais les indications laissées sur les partitions sont tellement précises qu'il y a très peu de marge de réinterprétation pour un chef d'orchestre aujourd'hui, sans compter qu'on n'a pas à gérer le passage d'une langue à une autre comme dans une traduction (sans compter aussi que le milieu de la musique classique est tellement plongé dans le formol que beaucoup sourcillent à l'idée d'une petite innovation par rapport au texte original). Quand il y a écrit pianissimo le chef sait très exactement le nombre de décibels à produire. Il y a déjà plus débat avec la musique baroque je pense, vu que les instruments ont évolué et que les partitions étaient beaucoup moins précises.

  • scarbo le 03/03/2010 à 12h41
    ravio
    mercredi 3 mars 2010 - 12:32

    Ce soir la représentation devrait être assez fidèle au Espagne-France de 2001.

  • ravio le 03/03/2010 à 12h43
    Scarbo
    mercredi 3 mars 2010 - 12:38
    ---
    Merci.
    C'est exactement la question que je me posais, à savoir quelle liberté laisse une partition. Finalement, la réputation d'un chef d'orchestre tient à son habileté à faire respecter la partition originale.

  • Troglodyt le 03/03/2010 à 12h45
    Moi, je penche plus pour le France-Espagne de l'hiver 1997/1998. Sans le chef d'orchestre.

  • carolizba le 03/03/2010 à 12h46
    Tous les compositeurs, à ce que je sache, n'ont pas laissé les mêmes libertés aux interprètes sur leurs partitions.

    Et effectivement, la question de l'interprétation des oeuvres dont aucun "original" n'a été fixé est un truc sans fin dans la musique. Qui nourrit bien le marché, d'ailleurs.

  • Troglodyt le 03/03/2010 à 12h47
    (idem pour le théâtre)

  • scarbo le 03/03/2010 à 12h51
    carolizba
    mercredi 3 mars 2010 - 12:46
    Tous les compositeurs, à ce que je sache, n'ont pas laissé les mêmes libertés aux interprètes sur leurs partitions.

    Des libertés évidemment qu'il y en a toujours, même pour interpréter le compositeur le plus rigide. Mais je réagissais par rapport à la comparaison avec la traduction littéraire. Deux mondes "d'interprétation" complètement différents selon moi.