Le fil éclectique

Pour tous les posts qui ne trouvent pas de forum, celui-ci ramasse les chiens perdus.

Breizhilien le 26/06/2022 à 22h54

Oui je voulais parler de température ressentie, rendre la chaleur supportable.

@Forezjohn. Donc oui, c'est dans le cas où il ne fait pas 35 dans la pièce bien sûr. Ici ils expliquent l'intérêt des deux sens de rotation :
lien
Est ce vraiment efficace? Aucune idée.

@Eric. Oui on a aussi un ventilateur sur pied dans la chambre et le bruit a été le critère déterminant. Même en mode nuit, je lz trouve encore un poil bruyant.

@Johnny : les modèles repérés pour l'instant sont autour de 150€. Alors pas un énorme investissement en effet, mais tant qu'à faire, si ça peut être vraiment efficace.
forezjohn le 26/06/2022 à 23h15

En réponse à Breizhilien le 26/06/2022 à 22h54
(voir le message)

Effectivement ça parle d'aspirer l'air frais du sol en été ce qui est plus logique, et pousser l'air chaud du plafond vers le sol en hiver.
lyes le 27/06/2022 à 10h54

J'ai mis un ventilateur de plafond dans ma cuisine car elle donne sur la terrasse côté soleil couchant sans clim dans cette pièce à Nice. Et bien c'est très agréable, on le met pendant qu'on cuisine et qu'on mange et ça donne vraiment une sensation de frais qui rend supportable les 30 degrés dans la pièce.
Après c'est une petite surface donc pas forcément représentatif mais pour le coût (130 balles) je trouve que ça fait un luminaire ventilo très utile.
Il y a 3 vitesses mais on ne met jamais la plus forte qui est trop bruyante.

J'ai le souvenir d'un voyage à Cuba y a quelques années avec absolument aucune clim chez les habitants et des gros ventilos à longues pâles au plafond de chaque pièce, on avait été surpris de si bien dormir malgré la chaleur humide.
cocobeloeil le 27/06/2022 à 13h31

Faut bien le fixer au plafond, sinon en plein sommeil ça peut se transformer en gore party s'il se décroche en pleine activité tournoyante...

(C'était le conseil brico du jour offert généreusement par le futur fil Girondin)
suppdebastille le 28/06/2022 à 16h28

En réponse à suppdebastille le 24/06/2022 à 12h42
(voir le message)

Suite à ma question précédente, pour augmenter les chances d'avoir une réponse positive à la demande de VISA il faut présenter une assurance couvrant les éventuels frais de santé de l'hébergé.

Je suis tombé là dessus après une recherche rapide, les prix semblent crédibles ? (si quelqu'un a déjà pratiqué ?)

lien
ULF le 28/06/2022 à 19h53

Question aux nombreux enseignants/universitaires/connaisseurs des arcanes estudiantines de ces lieux :

- Soit un élève de terminale qui vient de passer le bac
- Qui a rempli un parcoursup *sans* demander une année de césure, et qui a une affection acceptée et d'autres affectations en liste d'attente.
-A ce stade, il serait bien que l'élève en question ne fasse rien de tout ça l'année qui vient, et sursoit à ces projets jusqu'à l'année suivante.
- il y a la possibilité de faire un stage, ou un emploi, à temps partiel ou temps plein.

Quelle démarche peut on faire pour ne pas obérer les chances d'être pris à la fac l'année suivante ?

Est ce que c'est envisageable d'opter pour une césure maintenant ? (oui c'est à l'arrache) mais on peut justifier de raison sinon de force majeure du moins impérieuse.

Et par quel bout attraper le problème ?

Merci de vos lumières.
Dan Lédan le 28/06/2022 à 20h55

Oui..tu fais la demande dans l université ou tu es accepté..tu es inscrit comme etudiant dans celle ci et tu remplis un dossier de cesure..c est ce qu a fait ma benjamine...aprés ca depend peut etre des facs ..
Mangeur Vasqué le 04/07/2022 à 20h05

[Démographie]

J'aurais besoin de vos lumières. Enfin surtout les lumières des sachant.e.s parmi vous qui s'y connaissent en démographie.

Un article paru hier dans le Sunday Times fait le buzz depuis hier au Royaume-Uni, c'est celui-ci lien "Should we tax the childless?", signé du démographe Paul Morland. Titre évidemment putaclic mais peu importe.

Je passe sur les relents puants et nativistes de l'article parfaitement dans l'air du temps au R-U
("We should adopt a 'grow our own' policy") et qui enchanteront le lectorat du ST, et même pas mal de l'électorat Labour, parti de plus en plus droitisant (l'article est analysé dans le Guardian aujourd'hui, ici lien). Et je passe sur le fait qu'il n'y a pas de crise démographique au R-U, malgré l'alarmisme ambiant. (Les résultats du recensement de mars 2021 viennent de sortir, seulement 16 mois d'attente donc, et le trio Angleterre-Pays de Galles-Irlande du Nord affiche une population de 60.5 m, soit une augmentation de 6 % par rapport au dernier recensement, de 2011. Celui de l'Écosse a été reporté d'un an, because pandémie, décision du gouvernement écossais, donc résultats en 2023.)

Hormis l'immigration-émigration qui booste la population (n'oublions pas les millions de "natifs" qui ont quitté le R-U), ce qui emmerde profondément la droite, la gauche droitiste (bonne proportion de l'électorat Labour, j'en ai pas mal dans ma famille anglaise) et les néo-réacs ici c'est que "nearly 30 per cent of births in the UK are now to mothers born overseas", comme le met évidemment en exergue l'article du ST.

Ma question porte sur la politique de natalité induite dans le titre, cette suggestion de Morland de créer un "impôt pour les sans-enfants". D'où ça sort ce truc/est-ce nouveau ?

Merci par avance.
Toni Turek le 04/07/2022 à 21h25

Apparemment, il y en a qui ont déjà essayé, surtout à l'Est :

lien
Mangeur Vasqué le 04/07/2022 à 22h01

Merci. Intéressant de voir que l'alt-right britannique s'inspire de Staline ("Joseph Stalin's regime created the tax in order to encourage adult people to reproduce"). Je n'en attends pas moi d'eux.