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Etoiles et toiles

Non, ce n’est pas un forum sur le PSG, même si le titre aurait sans doute convenu, mais bien sur le cinéma, pour parler de tout ce qui touche de près ou de loin au septième art.

  • L'héroïk Cana le 22/11/2022 à 00h54
    Exquisement absurde, j'ai adoré autant que la BD !

  • OLpeth le 28/11/2022 à 09h36
    J'ai enfin rattrapé Mean Streets que j'avais jamais vu. 3ème long, et premier film de mafia d'un tout jeune Scorsese, on détecte les prémisses de son style : présentation des personnages, mafieux haut en couleur. Par contre niveau style, c'est pas encore ça. J'ai ressenti une tentative de reprendre le style nouvelle vague avec cette caméra à l'épaule très documentaire et cet enchaînement de scènes prises sur le vif encadrées par un scénario très lâche, quasi prétexte. Les personnages sont des ébauches (Keitel le truand ambitieux aux questionnements existentiels qui tentent en permanence de présenter une image respectable, De Niro en chien fou incontrôlable qui cabotine comme un perdu), survivant dans un New York glauque et menaçant très bien mis en valeur.
    Une étape nécessaire avant les futurs chefs-d'œuvre.

    Et comme j'étais en mode rattrapage et que j'avais envie de me vider la tête, j'ai décidé de mater ce classique des vidéoclubs dont j'avais souvent entendu parler : Best of the best. Une série B gentillette étonnamment pleine de bons sentiments, qui déroule son scénario simpliste entre deux stéréotypes et un acting au frontière du nanar.
    Eric Roberts est beau, gentil, et il est en fort en karaté (ou en taekwondo ou en full contact, le film va hésiter sur l'art martial pratiqué jusqu'à la fin), il a que ça dans la vie. Alors quand la fédé américaine lui propose de participer aux sélections de la team nationale, il hésite pas. Même si ça veut dire abandonner 3 mois son jeune fils orphelin de sa mère (cette relation père-fils est pleine de guimauve, ça en fait mal aux dents). Il va bien sûr passer les sélections malgré une épaule fragile et rencontrer ses futurs coéquipiers. Un chino-américain trop fort et trop droit, mais c'est normal il est asiatique alors personne peut le test en tatane (il cache un lourd secret, mais chuuut). Un italo-américain qui remplit le quota prolo. Un bobo bouddhiste complètement à l'ouest mais balèze quand même. Et la caricature du ricain tête à claque avec stetson et caractère de connard, joué par un Chris Penn complètement miscasté puisque ses capacités martiales sont équivalentes à celles de ma belle-mère.
    Tout ce beau monde est entraîné par James Earl Jones qui surjoue comme un perdu l'entraîneur inflexible (qui cache aussi un lourd secret, mais chuuut).
    En parallèle de l'entraînement terrible des américains, on suit par de courtes séquences intercalées l'entraînement aussi extrême que débile de l'équipe coréenne qu'ils vont affronter. Les mecs sont dépeints comme une bande de psychopathes dangereux qui n'hésitent pas à frapper pour tuer, et se motivent en courant en kimonos dans la neige en grimaçant comme des forcenés.
    Le happy end improbable, aussi naïf que plein de bons sentiments, du tournoi final en est d'autant plus inattendu.
    Vu en français bien sûr, pour se mettre dans l'ambiance VHS d'époque.

  • Tonton Danijel le 28/11/2022 à 10h03
    Tiens, je découvre sur sa fiche wikipedia que le petit frère de Sean Penn est ceinture noire de karaté, donc je suppose que tu contraries très peu ta belle-mère...

    Sinon, classiquement le genre de films qui marchait bien sur les ados à l'époque. Hyper manichéen en effet (heureusement que les Coréens et les Américains sont deux peuples amis), bourrés de guimauve, mais bon, le grand frère de Julia Roberts s'en sort pas trop mal, et les caricatures yankee sont assez rigolotes (et je ne pense pas qu'elles soient involontaires).

  • OLpeth le 28/11/2022 à 10h34
    Tu m'en apprends une merci. Mais dans le film, franchement ça se voit pas du tout, on voit même clairement qu'il est doublé pendant une séquence d'entraînement. Il a du mal à lever la jambe, il est tout raide, tout pataud on y croit pas une seconde comparé aux autres qui sont plutôt crédibles.

    Et dans mon résumé j'ai oublié de mentionner la consultante en culture asiatique, bimbo aux yeux bleus en talons aiguilles qui cachent bien son jeu. On sent que les producteurs se sont dits que ça manquait de sex appeal pour les ados.

  • Tonton Danijel le 29/11/2022 à 10h47
    Ça y est, United Passions est enfin chroniqué sur Nanarland: lien

    (Bon, c'est quand même moins drôle que la chronique de Moravcik, pour mémoire: lien )

  • Pascal Amateur le 29/11/2022 à 11h25
    J'aime beaucoup cette précision de Wiki sur le box-office :
    Aux États-Unis, la recette des deux premiers jours d'exploitation dans dix salles s'élève à 607 dollars.

  • Tonton Danijel le 29/11/2022 à 11h51
    Les plus drôle en soi n'est pas le film mais le concept: les types se sont vraiment dit qu'en mettant 25 millions sur la table dans un film devant les blanchir (en chargeant un Havelange gâteux à l'époque), ça marcherait.

  • suppdebastille le 01/12/2022 à 17h22
    La fiancée de Fandor est partie.

  • El Mata Mord le 01/12/2022 à 17h52
    Ah la belle Hélène...

  • Tonton Danijel le 02/12/2022 à 08h23
    Sacrément éclectique, la carrière de Mylène, avec des passages chez Michel Gérard ou Onteniente et des réalisateurs plus prestigieux comme Preminger, Verneuil ou Becker. Mais elle a réussi à avoir une longue carrière en étant sollicité pour de très bons rôles ("36, quai des Orfèvres", notamment) jusqu'à la fin.

    Irene Cara est aussi décédée ce week-end, j'ai des bons souvenirs de "Fame", où elle interprète avec une galerie d'acteurs inconnus des étudiants qui rêvent de gloire avant de fortement déchanter pour la plupart... (Alan Parker ironisait du reste sur le choix du titre). La carrière d'Irene Cara, malgré deux chansons primées aux Oscars, a été du reste un peu difficile par rapport aux reines du disco (même si on se souvient de son nom).