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Vingt-et-unième journée de D1 2016-2017 – Saint-Étienne sous pression »
La première finale franco-française en Ligue des Championnes va être précédée par deux autres confrontations entre Lyon et le PSG. Il aurait pu s’agir de trois « finales » mais le match en D1 n’aura finalement pas d’autre enjeu que d’ouvrir cette série.
Sur le papier, l’effectif de Lyon semble nettement supérieur en qualité et surtout en quantité. Mais une fois sur le terrain, il n’y a plus que onze joueuses de chaque côté et les débats promettent d’être serrés comme l’a déjà montré la victoire parisienne au mois de décembre en D1.
L’OL et le PSG règnent sur le football français depuis près de cinq ans et vont se rencontrer pour la première fois en finale de Ligue des Championnes et pour la seconde seulement pendant cette période en finale de Coupe de France1. Ces deux finales seront précédées par le match retour entre les deux équipes pour l’avant dernière journée de D1. Mais malgré la victoire parisienne en décembre, il n’y aura pas d’enjeu à ce match de championnat. Non seulement le titre est déjà à Lyon, mais la seconde place européenne ira certainement à Montpellier même en cas de victoire parisienne à Décines.
Cette absence d’enjeu direct ne rend pas le premier match inintéressant pour autant. Les deux équipes le joueront avec les deux suivants en tête. Lyon ne voudra pas perdre deux fois en championnat contre le même adversaire mais aura sans doute la tentation de profiter de la richesse de son effectif pour réserver ses forces pour les échéances suivantes. Toutefois le calendrier ne propose qu’un match par semaine et une trop forte rotation pourrait faire perdre le rythme à l’équipe type.
Aurélie Kaci et Josephine Henning
Le PSG peut encore espérer une défaillance montpelliéraine pour accrocher la qualification européenne sans attendre le 1er juin. Il ne pourra sans doute pas totalement faire l’impasse sur le match de championnat.
Autre élément qui pourra compter : l’impact psychologique de cette première levée. Quel sera l’avantage mental pris par le vainqueur ? quel esprit de revanche animera le vaincu ?
Une semaine plus tard, la valeur du match montera d’un cran à Vannes avec la finale de la Coupe de France qui opposera deux invaincus. La dernière défaite de Lyon dans cette compétition remonte à la finale 2002 contre Toulouse dans une compétition nouvellement créée qui s’appelait encore le Challenge de France. Le club s’appelait alors le FC Lyon. Depuis, les Lyonnaises n’ont pas remporté toutes les éditions mais elles n’ont jamais été éliminées autrement qu’aux tirs aux buts. Elles sont donc invaincues sous le blason olympien et sont tenantes des cinq dernières éditions.
En face, c’est un autre spécialiste qui se présente. Patrice Lair mène sa septième campagne en Coupe de France pour son troisième club. Jusque là, il en a remporté cinq n’échouant qu’une seule fois en quart de finale en 2011 avec Lyon aux tirs aux buts face à Juvisy. Sinon il a remporté les éditions 2006 et 2007 avec Montpellier (à chaque fois aux tirs aux buts face à Lyon) puis celles de 2012 à 2014 avec Lyon contre Montpellier, Saint-Étienne puis le PSG.
En début de saison, la Coupe de France était clairement l’objectif parisien. Elle semblait naturellement la voie la plus probable pour remporter enfin un second titre, plus que le championnat qui nécessite de la régularité et la Coupe d’Europe où l’opposition est plus relevée.
Shirley Cruz
Mais désormais, le PSG est à la même distance d’une victoire en Coupe de France qu’en Coupe d’Europe. Dans les deux cas, il ne reste qu’un match à remporter et face au même adversaire. Les déboires subis en championnat et le prestige supérieur de la compétition incitent sans doute le club parisien à privilégier désormais une victoire européenne qui serait qualificative pour la prochaine édition (et donnerait trois représentants à la France si la situation reste inchangée en D1).
La position lyonnaise est sans doute assez similaire : rejoindre Francfort au nombre de victoires en Ligue des Championnes est sans doute plus important que d’augmenter encore le record du nombre de Coupes de France. Mais il est certain qu’aucune des deux équipes ne fera l’impasse sur la finale française.
Lors des cinq dernières saisons, l’OL n’a concédé que six défaites. Une contre Potsdam, deux contre Wolfsbourg et trois contre le PSG. L’équipe parisienne est donc celle qui arrive le plus à battre celle de Lyon. Mais pendant le même temps, elle a aussi concédé neuf défaites dont certaines assez lourdes. Bref, si le PSG est sans doute la bête noire de l’OL, c’est plus relatif aux standards lyonnais que dans l’absolu.
Jessica Houara
Les deux équipes ne se quittent plus en Coupe d’Europe : c’est la troisième saison consécutive qu’elles se rencontrent avec une qualification partout. Il faut dire qu’une fois sorti des équipes allemandes et françaises et éventuellement d’une suédoise les bonnes années, le reste du plateau n’est clairement pas au même niveau, ce qui multiplie les confrontations entre les mêmes quatre ou cinq équipes. En ajoutant la finale de la Coupe de France 2014, cela fera donc la quatrième saison consécutive que les deux clubs s’affrontent plus que deux fois. C’est beaucoup mais c’est finalement dans la logique de l’hétérogénéité des équipes dans les différentes compétition qui fait que les meilleures équipes finissent la plupart du temps par s’affronter, en finale à défaut de tirage au sort plus précoce. Ainsi cette saison sera seulement la première sans Montpellier-Lyon en Coupe de France depuis 2011. C’est plutôt le faible nombre de PSG-Lyon dans cette compétition qui est anormal.
L’histoire commune de l’OL et du PSG repose sur les matchs qui ont opposé les deux équipes mais également sur les nombreuses joueuses qui ont porté les couleurs des deux clubs. Onze joueuses des effectifs actuels ont ainsi porté les couleurs de l’équipe adverse2.
Joueuse | Lyon | PSG | Total |
---|---|---|---|
Camille Abily | 284 | 13 | 297 |
Shirley Cruz | 172 | 123 | 295 |
Laura Georges | 162 | 116 | 278 |
Amandine Henry | 208 | 6 | 214 |
Jessica Houara | 26 | 171 | 197 |
Aurélie Kaci | 118 | 76 | 194 |
Sonia Bompastor | 170 | 13 | 183 |
Élise Bussaglia | 71 | 70 | 141 |
Kenza Dali | 7 | 124 | 131 |
Delphine Blanc | 96 | 20 | 116 |
Katia | 89 | 22 | 111 |
Kheira Hamraoui | 14 | 93 | 107 |
Laure Lepailleur | 38 | 65 | 103 |
Gwenaëlle Pelé | 45 | 47 | 92 |
Caroline Seger | 24 | 61 | 85 |
Véronique Pons | 37 | 44 | 81 |
Ève Perisset | 28 | 32 | 60 |
Méline Gérard | 34 | 16 | 50 |
Rosana | 24 | 10 | 34 |
Inès Dhaou | 7 | 25 | 32 |
Josephine Henning | 8 | 23 | 31 |
Saïda Akherraze | 6 | 11 | 17 |
Les statistiques ne prennent en compte les données que depuis la saison 2003-2004. Il manque ainsi Céline Deville, passée par le PSG au début des années 2000. |
Le PSG dispose d’un bel effectif comprenant 14 internationales A3 pour 18 joueuses ayant participé au moins à l’équivalent de cinq matchs complets toutes compétitions confondues. Parmi elles, quatre ont déjà remporté la Ligue des Championnes4 : Shirley Cruz et Laura Georges avec Lyon, Verónica Boquete avec Francfort (contre le PSG) et Cristiane avec Potsdam il y a douze ans. On pourrait aussi ajouter Ève Périsset qui était restée sur le banc l’an dernier à Reggio d’Emilie. Quatre autres joueuses5 étaient de la finale perdue contre Francfort il y a deux ans. Patrice Lair dispose donc d’un effectif qui pourrait faire envie à presque n’importe quel adversaire.
Kenza Dali
Mais ça n’est pas le cas quand il s’agit de Lyon où 22 joueuses ont joué plus de 450 minutes. Toutes sont des internationales A en exercice sauf Corine Petit (89 sélections tout de même) et Mylaine Tarrieu. La richesse de l’effectif est telle que Kenza Dali et Aurélie Kaci, qui étaient titulaires lors de la finale du PSG contre Francfort et qui étaient régulièrement appelées en sélection les deux dernières saisons n’ont pas atteint la barre des 450 minutes après une saison certes gâchée par les blessures.
Douze joueuses ont déjà remporté la Ligue des Championnes et cinq autres ont au moins joué la finale, sans compter des joueuses comme Méline Gérard, Claire Lavogez ou Kheira Hamraoui qui ont atteint une finale sans y prendre part. Outre les joueuses qui étaient déjà là l’an dernier, Josephine Henning a remporté trois titres européens avec Potsdam et Wolfsbourg (dont deux contre Lyon) et Dzsenifer Marozsán un avec Francfort (contre le PSG). Parmi les 24 joueuses susceptibles de participer cette année, les seules qui n’ont pas déjà mené une campagne européenne jusqu’en finale sont les deux recrues nord-américaines et pour causse : elles participent pour la première fois à la compétition.
Ève Périsset
Dans la mesure où il n’est possible d’aligner que onze joueuses sur le terrain et qu’il ne peut pas y en avoir plus de quatorze qui participent à un match, l’avantage que possède Gérard Prêcheur sur Patrice Lair est nivelé sur un match. Les deux entraîneurs ont la possibilité d’aligner une équipe entièrement composée d’internationales A en exercice. La différence peut commencer à se faire sur les joueuses qui entrent. Et plus encore sur les choix possibles sur le banc.
Aurélie Kaci
Dans le contexte particulier d’une triple confrontation, il est évident que l’entraîneur lyonnais dispose d’un très grand avantage puisqu’il peut aligner quasiment deux équipes compétitives. Mais il est peu probable qu’il s’en serve. Il n’y a quasiment qu’un match par semaine et l’avancée de la dernière journée de championnat au jeudi 25 mai et celle de la finale de la Coupe de France au vendredi 19 permettent des récupérations quasiment optimales entre la journée de championnat du dimanche 14 et la finale de la Coupe d’Europe du jeudi 1er juin.
Du coup, il y a presque plus de risque à laisser au repos les joueuses au risque de leur faire perdre le rythme de la compétition qu’à leur faire jouer les matchs. Et si d’aventure Gérard Prêcheur décide de faire jouer son équipe bis, ce sera vraisemblablement contre Metz pour la dernière journée. Mais Patrice Lair pourrait en faire la même chose au même moment contre Bordeaux.
Gérard Prêcheur a régulièrement modifié son schéma tactique mais c’est surtout pour s’adapter à son effectif, aux joueuses qu’il laissait au repos et à des adversaires contre lesquels il pouvait expérimenter. Lors des matchs au somment en revanche il a régulièrement utilisé le même système en 3-5-2 qui optimise son effectif dans lequel il dispose de quatre défenseuses centrales6 de haut niveau mais d’aucune défenseuse latérale en dehors de Jessica Houara. Amel Majri et Pauline Bremer sont beaucoup plus utiles quand elles peuvent occuper haut leur couloir et que leur devoir défensif est limité. Le milieu a souvent été densifié dans les gros matchs avec la titularisation de Caroline Seger. Cela sera peut-être le cas en Coupe de France mais à Cardiff, on imagine mal voir Saki Kumagai, Camille Abily ou Dzsenifer Marozsán sur le banc. Reste qu’il faudra faire un choix devant entre Alex Morgan, Ada Hegerberg et Eugénie Le Sommer. Mais celle qui ne sera pas titulaire entrera à coup sûr en cours de partie.
Laura Georges
Patrice Lair a aussi longtemps alterné entre une défense à trois et à quatre en fonction des joueuses dont il disposait et du niveau des adversaires. Contre Lyon à l’aller et plus récemment contre Barcelone, il a lui aussi opté pour la première solution. L’arrivée de la Canadienne Ashley Lawrence favorise aussi cette organisation. Malgré la blessure d’Erika, il dispose avec Laura Georges, Irene Paredes et Sabrina Delannoy de trois défenseuses centrales de haut niveau et quand il a fallu pallier une absence, Grace Geyoro est redescendue comme si elle avait dix ans d’expérience du poste.
Sa position naturelle est au milieu où les places son chères avec l’inamovible Shirley Cruz et Verónica Boquete. Entre les blessures et les suspensions, les trois ont rarement formé le milieu parisien ces derniers temps. Il faut dire qu’Amandine Henry pendant les quatre matchs où elle a pu jouer et Formiga ont apporté de la concurrence dans un secteur qui compte aussi Aminata Diallo.
En attaque, les solutions sont en revanche nettement moins nombreuses. Cristiane et Marie-Laure Delie sont incontournables tandis que Marie-Antoinette Katoto est blessée quasiment depuis le mois de novembre, que Nataša Andonova n’est pas qualifiée pour la Coupe d’Europe et que Sarah Palacin qui n’avait joué depuis novembre qu’une mi-temps en janvier lors de la victoire 19-0 contre Bourges s’est blessée gravement peu de temps après être réapparue dans l’équipe en demi-finale de Coupe de France. Pour la finale européenne, la seule option offensive sera donc Ouleymata Sarr.
Le dernier élément de la triple confrontation concerne le duel des entraîneurs. Gérard Prêcheur et Patrice Lair ont déjà réalisé le triplé avec Lyon. Le premier a jusque là remporté six des sept compétitions qu’il a disputé et il vise donc le huit sur neuf. Mais le second avait fait presque aussi bien dans les mêmes conditions avec neuf titres sur douze. Leur philosophie de jeu est assez différente. L’entraîneur parisien mise sur un jeu très vertical et sur des attaques très rapides, son homologue lyonnais cherche plus la possession pour déséquilibrer l’adversaire et surtout l’épuiser au fil du match. Sur les aspects techniques de l’entraînement et des mises en places tactiques, l’ancien membre de la DTN est sans doute supérieur. Ce n’est certainement pas un hasard si beaucoup des joueuses qu’il a formé à Clairefontaine en parlent comme du meilleur entraîneurs qu’elles ont eu. Mais Patrice Lair semble plus convaincant au moment d’aborder les quelques matchs importants, ceux sur lesquels on juge le résultat d’une saison, surtout dans un contexte aussi hétérogène où beaucoup de matchs sont vraiment des matchs faciles.
Patrice Lair
L’ancien entraîneur de Montpellier sera le second après Farid Benstiti à mener deux équipes différentes en finale de Ligue des Championnes et cherchera à être le premier à remporter la compétition avec deux clubs. Il est déjà le premier à avoir atteint les demi-finales avec trois7. De même, il sera le premier entraîneur à disputer la finale de la Coupe de France avec trois clubs différents.
Gérard Prêcheur n’a bien sûr pas ces références, sa seule expérience précédente en D1 remonte à plus de dix ans à l’époque où le CNFE8 de Clairefontaine alignait une équipe en D1. Elle ne disputait pas le Challenge de France (qui était le nom de la Coupe de France à l’époque) et ne pouvait pas être reléguée. Il disposait alors d’un effectif extrêmement talentueux : Sarah Bouhaddi, Laura Georges, Laure Boulleau, Sabrina Delannoy, Jessica Houara, Camille Abily, Élise Bussaglia, Amandine Henry, Louisa Necib ou Élodie Thomis ont ainsi évolué en D1 sous ses ordres. Mais il s’agissait de joueuses de moins de vingt ans et l’objectif étant d’abord de les former, les résultats étaient très irréguliers.
Gérard Prêcheur
Le fait que Patrice Lair et Farid Benstiti apparaissent souvent dans ces records de participation avec des clubs différents vient aussi du fait qu’ils sont à peu près les seuls (en Europe) à avoir pu entraîner plus d’une équipe de haut niveau. Contrairement au football masculin où les grands clubs s’échangent les Guardiola, Mourinho et Ancelotti, les entraîneurs sont peu recyclés dans les clubs de haut de tableau.
Josephine Henning, Aurélie Kaci et Kenza Dali
N° | Nom | Poste | Nationalité | Âge | Matchs | Temps | Buts |
---|---|---|---|---|---|---|---|
1 | Katarzyna Kiedrzynek | G | ![]() |
26 | 25 | 2239 | 0 |
16 | Loes Geurts | G | ![]() |
31 | 9 | 731 | 0 |
30 | Romane Salvador | G | ![]() |
19 | 0 | 0 | 0 |
3 | Laure Boulleau | D | ![]() |
31 | 1 | 45 | 0 |
4 | Laura Georges | D | ![]() |
33 | 27 | 2276 | 1 |
5 | Sabrina Delannoy | D | ![]() |
31 | 33 | 2816 | 3 |
6 | Ngozi Ebere | D | ![]() |
26 | 0 | 0 | 0 |
8 | Erika | D | ![]() |
29 | 12 | 923 | 3 |
13 | Sandy Baltimore | D | ![]() |
17 | 2 | 53 | 0 |
14 | Irene Paredes | D | ![]() |
26 | 25 | 2250 | 5 |
17 | Ève Perisset | D | ![]() |
22 | 32 | 2396 | 3 |
20 | Perle Morroni | D | ![]() |
20 | 17 | 805 | 2 |
23 | Hawa Cissoko | D | ![]() |
20 | 3 | 120 | 0 |
7 | Aminata Diallo | M | ![]() |
22 | 28 | 1626 | 1 |
11 | Anissa Lahmari | M | ![]() |
20 | 11 | 407 | 3 |
12 | Ashley Lawrence | M | ![]() |
22 | 17 | 1350 | 1 |
19 | Lina Boussaha | M | ![]() |
18 | 4 | 67 | 0 |
22 | Sana Daoudi | M | ![]() |
19 | 2 | 29 | 0 |
24 | Formiga | M | ![]() |
39 | 12 | 899 | 1 |
26 | Grace Geyoro | M | ![]() |
20 | 24 | 2042 | 0 |
28 | Shirley Cruz Traña | M | ![]() |
32 | 28 | 2311 | 6 |
29 | Amandine Henry | M | ![]() |
28 | 6 | 429 | 3 |
9 | Sarah Palacin | A | ![]() |
29 | 10 | 370 | 3 |
10 | Cristiane | A | ![]() |
32 | 29 | 2206 | 26 |
15 | Nataša Andonova | A | ![]() |
23 | 8 | 435 | 2 |
18 | Marie-Laure Delie | A | ![]() |
29 | 26 | 1832 | 27 |
21 | Verónica Boquete | A | ![]() |
30 | 29 | 2244 | 12 |
25 | Marie Antoinette Katoto | A | ![]() |
19 | 10 | 704 | 7 |
27 | Ouleymata Sarr | A | ![]() |
22 | 25 | 1056 | 5 |
Nataša Andonova n’est pas qualifiée pour la finale de la Ligue des Championnes mais elle l’est pour celle de Coupe de France et pour le match de D1. |
Kheira Hamraoui
N° | Nom | Poste | Nationalité | Âge | Matchs | Temps | Buts |
---|---|---|---|---|---|---|---|
1 | Erin Nayler | G | ![]() |
25 | 0 | 0 | 0 |
16 | Sarah Bouhaddi | G | ![]() |
31 | 23 | 2070 | 0 |
30 | Méline Gérard | G | ![]() |
27 | 10 | 900 | 0 |
28 | Loïs Ursella | G | ![]() |
18 | 0 | 0 | 0 |
3 | Wendie Renard | D | ![]() |
27 | 24 | 2070 | 7 |
4 | Julie Marichaud | D | ![]() |
19 | 0 | 0 | 0 |
5 | Saki Kumagai | D | ![]() |
27 | 26 | 2159 | 10 |
7 | Amel Majri | D | ![]() |
24 | 24 | 1976 | 7 |
8 | Jessica Houara d’Hommeaux | D | ![]() |
30 | 26 | 1890 | 2 |
15 | Aurélie Kaci | D | ![]() |
27 | 5 | 336 | 1 |
17 | Corine Petit | D | ![]() |
34 | 15 | 977 | 5 |
21 | Kadeisha Buchanan | D | ![]() |
22 | 13 | 1025 | 0 |
25 | Julie Piga | D | ![]() |
19 | 3 | 163 | 0 |
26 | Josephine Henning | D | ![]() |
28 | 8 | 550 | 0 |
29 | Griedge Mbock Bathy Nka | D | ![]() |
22 | 22 | 1878 | 3 |
2 | Kenza Dali | M | ![]() |
26 | 6 | 298 | 1 |
10 | Dzsenifer Marozsán | M | ![]() |
25 | 28 | 1957 | 7 |
11 | Kheira Hamraoui | M | ![]() |
27 | 14 | 897 | 3 |
18 | Claire Lavogez | M | ![]() |
23 | 23 | 1294 | 16 |
20 | Delphine Cascarino | M | ![]() |
20 | 9 | 557 | 3 |
23 | Camille Abily | M | ![]() |
32 | 26 | 2002 | 15 |
27 | Caroline Seger | M | ![]() |
32 | 24 | 1521 | 1 |
9 | Eugénie Le Sommer | A | ![]() |
28 | 28 | 1965 | 28 |
12 | Élodie Thomis | A | ![]() |
31 | 12 | 591 | 0 |
13 | Andrea Norheim | A | ![]() |
18 | 1 | 18 | 1 |
14 | Ada Hegerberg | A | ![]() |
22 | 29 | 2125 | 25 |
22 | Pauline Bremer | A | ![]() |
21 | 26 | 1666 | 9 |
24 | Mylaine Tarrieu | A | ![]() |
22 | 14 | 847 | 5 |
31 | Alex Morgan | A | ![]() |
28 | 14 | 892 | 11 |
Josephine Henning et Caroline Seger
impoli gone
* samedi 13 mai 2017 - 13:44
Belle revue des forces en présence. Curieux de voir ce que les entraîneurs (les club?) vont choisir comme stratégie sur l’ensemble de la série et comment cela va se traduire match par match.
Ah, et aussi bizarre que cela paraisse, Lyon a aussi perdu contre Manchester City.