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Top 10 : les équipes d'enfoirés

Ils ont marqué leur époque, pour certains remporté des trophées, mais cela ne s'est pas fait au panache. Fourbes, violents, tricheurs... Sélection d'équipes qu'il valait mieux ne pas croiser.

Auteur : L'Atelier le 14 Mars 2014

 

 

10. Portugal 2006

Deux ans après un Euro frustrant, les Portugais attaquent le Mondial allemand le couteau entre les dents. C'est lors des matches à élimination directe que les Lusitaniens expriment tout leur potentiel de vice. Le huitième face aux Pays-Bas entre dans la légende comme la rencontre la plus riche en cartons jaunes et rouges de l'histoire de la Coupe du monde. Simulations, anti-jeu, mains volontaires: les deux équipes usent des artifices les plus sales et ce sont les Portugais qui se qualifient pour les quarts.




 

Au tour suivant, ils retrouvent l'Angleterre. Wayne Rooney, auteur d'un vilain coup de pied dans les parties de Ricardo Carvalho, est exclu. Une décision prise après de vives protestations de son coéquipier mancunien Cristiano auprès de l’arbitre pour le faire expulser – une attitude qui lui vaudra une bouderie des supporters des Red Devils à son retour. En demi-finale, les Portugais font encore une fois preuve de leur talent et... de leur capacité à tomber facilement, avec Cristiano comme plongeur en chef. Ironie du sort, c'est sur une petite simulation de Henry que les Français obtiennent le penalty qui met fin à leur parcours.


 

 

9. Italie 1934

Le foot et la politique n'ont jamais fait bon ménage. Le premier mauvais exemple se produit dès la deuxième édition de la Coupe du monde organisée par l'Italie, et la tentation fut grande d'en faire un instrument de propagande du régime fasciste. La sélection transalpine, qui comprend quatre anciens internationaux... argentins, cafouille son football, à l'exception du premier match face aux USA (7-1). C'est surtout le quart de finale contre l'Espagne qui marque les esprits et ternit la réputation des Italiens: une boucherie, sous une température caniculaire, avec une égalisation sur un but contesté, le gardien Ricardo Zamora semblant victime d'une charge irrégulière.
 

Plus rien ne sera marqué et il faut jouer un match d'appui le lendemain. Giuseppe Meazza crucifie les espoirs espagnols (1-0). L'équipe d'Italie s'impose sur le même score face à la Wunderteam autrichienne et bat la Tchécoslovaquie en finale. Le contexte politique, le quasi professionnalisme de l'équipe – contraire aux règles en vigueur – et la violence du quart de finale contre l'Espagne (avec des soupçons de complaisance de l'arbitre envers le pays-hôte) ont néanmoins donné à ce titre un goût amer. Les Transalpins feront taire certaines de ces critiques en enchaînant sur un titre olympique et une deuxième Coupe du monde en 1938.


 

 

8. Inter Milan 2010

Le 29 mai 2010, les Nerazzurri défendent jusqu’au bout leur avance de l’aller (3-1) sur la pelouse du Camp Nou, à dix contre onze pendant plus d’une heure. Samuel Eto’o y accomplit sa plus belle prestation d’arrière latéral et José Mourinho part courir comme un dératé sur le terrain après le coup de sifflet final. L’Inter vient certes de réaliser un exploit mais dans une démonstration de refus de jeu. car’Olic’ba avait d’ailleurs signé, à ce sujet, un article ironique ici même.




Sur les Cahiers, l'article “Mourinho Future” prend une teneur un peu prophétique. Lors de son retour au Camp Nou en novembre avec le Real, le Special One subit la fameuse manita qui contribuera aux stratégies musclées des clásicos suivants. Un pragmatisme vicieux que son Inter roi d’Europe a aussi incarné, avec notamment Lúcio et Walter Samuel, spécialistes des prises de judo et de tirages de maillots dans la surface. Une équipe à l’image de son entraîneur, avec ses défauts mais aussi une force collective admirable. Pourtant dotée de joueurs offensifs de haut niveau, la formation de Mourinho usera surtout de tactiques défensives et de contres pour remporter la Ligue des champions.


 

 

7. Parme 1999

Le Parme AC de 1999 compte quelques joueurs capables de faire le sale boulot (Fabio Cannavaro, Dino Baggio ou Alain Boghossian), mais propose un jeu assez remarquable. En coulisses, on trouve cependant quelques salopards et le foot, notamment italien, en est profondément gangréné en cette fin des années 90. C’est en 1998 que Zdenek Zeman tient sa célèbre diatribe visant évidemment la Juve, mais aussi Parme. La diffusion, plusieurs années après, d’une vidéo de Cannavaro une seringue dans le bras avant la finale de C3 contre l’OM ravive la polémique autour d’équipes sur-médicamentées. L’attitude du joueur et de son entourage dénote une banalisation de ce type de pratiques.
 

Le Parme 1999 est aussi plus que suspect d’affairisme. Le club, monté en Serie A en 1990, avait été racheté à ce moment par l’entreprise Parmalat. Trois coupes européennes agrémentent cette décennie dorée, mais les révélations successives démontrent les fraudes massives sur lesquelles s’appuyait cette croissance effrénée. L’énorme scandale – dont le club fait également les frais – reste la plus grosse banqueroute frauduleuse enregistrée en Europe.


 

 

6. Argentine 1990

Le Mondiale 1990 n'a pas laissé de grands souvenirs sinon ceux d'un jeu fermé, physique, à l'agressivité excessive. Mais c'est surtout le parcours du tenant du titre qui attirera les critiques. Repêchés parmi les meilleurs troisièmes, les Argentins affrontent le Brésil en huitième de finale. Dominateurs, les Auriverde se font piéger à dix minutes du terme sur un but de Claudio Caniggia. Le match est entaché par un soupçon d'empoisonnement: Branco aurait absorbé un tranquillisant caché dans une bouteille donné par un membre du staff argentin.
 

L'Argentine élimine ensuite la Yougoslavie et l'Italie à... Naples, dans un stade San Paolo qui ne vibre normalement que pour Diego Maradona. Si le public napolitain a été clément envers Diego, il n'en sera pas de même en finale: les tribunes romaines conspuent la vedette du rival napolitain, qui répond par un “hijos de puta”. À la 65e, Pedro Monzon, rentré en jeu à la mi-temps, pète un plomb et est logiquement directement expulsé pour une agression sur un joueur allemand. Vingt minutes plus tard, une faute de Troglio entraîne un penalty transformé par Brehme. Sentant le match leur échapper, Maradona et Dezotti contestent auprès de l'arbitre: un avertissement chacun, le deuxième pour Gustavo Dezotti.


 

 

5. Pays-Bas 2010

Les Pays-Bas appliquent un schéma cynique et pragmatique en Afrique du Sud: défi physique à la limite derrière, efficacité maximale devant. Mark Van Bommel, aussi roublard quand il s'agit de négocier l'indulgence des arbitres après une faute que brillant quand il s'agit de relancer proprement, s’épanouit dans le système de Bert van Marwijk. Mais il serait injuste de résumer les onze salopards au seul Van Bommel.




Il y a Arjen Robben, talentueux mais individualiste. John Heitinga, expulsé en finale alors que sa faute était moins grossière que d'autres vues en cours de match, comme un tacle de Van Bommel sur la cheville d'Andrés Iniesta et, surtout, le coup de kung-fu du psychopathe Nigel De Jong s'essuyant les crampons sur la poitrine de Xabi Alonso. La défaite en finale laisse la morale sauve: si les apôtres du football offensif de 1974 ont échoué en finale, il ne fallait pas que les brutes de 2010 fassent mieux.


 

 

4. PSV Eindhoven 1988

Ronald Koeman, qui a eu le bon goût de s’essuyer les fesses avec le maillot d’Olaf Thon à la fin de la rencontre face à la RFA à l'Euro 88, est l’une des pièces maitresses du PSV Eindhoven qui remporte la C1 de manière contestée… À partir des quarts, les champions des Pays-Bas font cinq matches nuls pour éliminer Bordeaux et le Real puis battre Benfica 6 tirs au but à 5 en finale après un 0-0 des familles. Une apothéose de non-football marquée par un contrat sur Jean Tigana lors du quart contre les Girondins. Hans Gillhaus entre à la 12e minute en remplacement de l’attaquant Franck Arnesen avec une consigne claire: s’occuper de Tigana. Le joueur bordelais s’en tire avec une entorse de la cheville doublée d’une profonde plaie.
 

Tigana doit sortir en seconde période et n’est pas titulaire lors du retour à Eindhoven. Il entre à la 75e, mais Koeman se charge tout de suite de son cas en le descendant trois minutes plus tard. Et en rajoute une couche en conférence de presse, évoquant la contribution de Gillhaus à l’aller: "Ce fut un geste de pure classe. Tigana était le plus dangereux, et il fallait le neutraliser à tout prix." Pour ces propos, il sera suspendu trois matches par l’UEFA... mais une réduction de peine ne le privera finalement que de la demi-finale aller contre le Real Madrid.


 

 

3. RFA 1982

Les Allemands, champions d'Europe en titre se font surprendre par l'Algérie pour leur entrée dans le Mondial 82. Les Fennecs, qui s’inclinent ensuite contre l'Autriche, semblent en bonne voie pour devenir la première sélection africaine à passer le premier tour, mais leur victoire 3-2 contre le Chili les contraint à attendre le match entre les cousins germaniques. Hrubesch marque à la 10e et les Algériens assistent, médusés, à quatre-vingt minutes de passe à dix validant la qualification des deux sélections. Le scénario de ce match poussera la FIFA à programmer les derniers matches de poule simultanément afin d'éviter tout arrangement.




En demi-finale, la RFA défie la France. Harald Schumacher incarne le salopard parfait en fracassant la mâchoire de Battiston sur une sortie pas du tout sur le ballon, avant de regagner son poteau, d'où il contemple, impertubable, les soigneurs s'occuper de sa victime sans connaissance. Galvanisés, les Bleus mènent 3-1 en prolongations mais l'entrée de Rummenigge inverse le cours du match. Schumacher s'oppose aux tirs de Six et Bossis et qualifie les Allemands pour la finale. Épuisés par un parcours infernal, ils sombreront 3-1 face à des Italiens en état de grâce.


 

 

2. Le Crazy Gang du Wimbledon FC 1978-1988

Cette longue ère du club de Wimbledon est, selon les mots de Kevin Quigagne sur Teenage Kicks, “l’un des plus beaux contes de fées de l’histoire du football”. Tout part de l’ailier Steve Parsons, qui reprend de la tête des pots de terre qu’il lance en l’air lors d’une fête organisée par le gardien Dave Beasant. S’ensuivent des gags potaches, voire très limites: Wally Downes suspend le kiné par dessus bord lors d’une sortie en bateau et bizute un chauffeur de bus, les joueurs montrent leurs fesses ou surfent à poil sur le toit du véhicule. Certains vont même jusqu’à copuler avec leur petite amie sur le bureau de Rod Noades, le propriétaire du club, mais la direction ferme les yeux, considérant que cela favorise la cohésion du groupe. Sam Hammam, qui rachète le club en 1981, entretient cette ambiance déjantée, portant une moumoute en poils de chameau, versant du sel dans les sucriers des adversaires, gribouillant des graffitis obscènes dans les vestiaires…
 

Sur le terrain, le gang s’illustre par sa sauvagerie, taclant et intimidant les opposants. Les cartons pleuvent mais les résultats suivent. Cette époque connaît son apogée lors de la finale de la Cup face à Liverpool en 1988. Enragés, les joueurs de Wimbledon se déchaînent déjà deux heures avant le coup d’envoi. Ils tapent sur les murs du vestiaire des Reds, Vinnie Jones promet à Kenny Dalglish de lui “arracher une oreille” et de “la cracher ensuite dans le trou.” Wimbledon l’emporte 1-0, pour l’une des plus grosses surprises de l’histoire de la compétition. La suite est racontée sur Teenage Kicks ici et .


 

 

1. Leeds United 1961-1974

Le Leeds de Donald Revie avait développé la gruge, le triche et le mauvais esprit jusqu'à un sommet plus jamais atteint depuis. Dans cette bande, il y avait de tout. Des bouchers comme William Bremner, qui fut d'ailleurs le premier joueur suspendu pour comportement violent et déshonorant (il avait provoqué et agressé Keegan lors du Charity Shield 1974), et des truqueurs à l’image de Lorimer et Jordan, prêts à tout pour provoquer un penalty ou faire expulser un adversaire. La contestation arbitrale était permanente et systématique. Les adjoints Syd Owen et Maurice Lindely tenaient à jour des dossiers sur chaque arbitre, chaque adversaire "achetable". Généralement, le remplaçant de l'équipe était chargé de faire circuler les enveloppes. Le régime physique de l'équipe comptait beaucoup sur l'apport de produits un peu plus forts que les infiltrations de cortisone.




Revie faisait de la superstition l'alpha et l'oméga de sa préparation mentale, obligeant son équipe à marcher autour des ronds points de la ville et licenciant sans préavis tous ceux qu'il surprenait à porter du vert (y compris les femmes de ménages et les administratifs), couleur qu'il avait décrété porter malheur après que son gardien eut encaissé un but malheureux en finale de la Cup 55 avec un maillot de cette teinte. Il instituait des jeux d'argent et des paris avec ses joueurs pendant les mises au vert, pour développer leur instinct de la victoire à tout prix et leur inculquer le sens de la ruse pour contraindre la chance.  
 

 

Les auteurs: Tonton Danijel, khwezi, Lucho Gonzealaise, et alors, Ba Zenga.

 

[1] C'est officiellement la première compétition de l'Allemagne réunifiée, dont le parcours est évoqué dans le film "Goodbye Lenin", mais cette sélection est composée exclusivement de joueurs qui ont participé aux qualifications sous la bannière de la RFA.

 

Réactions

  • Ba Zenga le 14/03/2014 à 13h25
    Merci pour les retours, ce fut un atelier très enrichissant. Et bien marrant, du coup. Bastia avait été cité, mais on n'avait pas reçu de candidature développée.

  • pavlovitch le 14/03/2014 à 13h39
    Ça fait quand même plaisir un bon top 10 d'enfoirés avec que des équipes pas de chez nous.

    Y'a pas qu'à France Télé qu'on fait l'ascension du Mont Chauvin, visiblement.

    Blague à part, les places de l'Inter 2010 et de Parme sont on ne peut plus contestables, étant donné que d'innombrables équipes pourraient répondre aux mêmes critères (tactique défensive + contre + vice pour l'Inter / équipe brillante mais soupçons de dopage + chute financière pour Parme).
    N'importe quelle équipe de Mourinho aurait eu sa place finalement, quand on y pense, l'Inter étant certes le choix le plus emblématique.

    Et pourquoi pas les Bleus de 2006? Et l'OM 93, personne n'y a songé?

  • Tonton Danijel le 14/03/2014 à 13h52
    A la gloire de Coco Michel
    aujourd'hui à 11h55

    Et pas un mot sur le SC Bastia, ça sent l'intimidation.
    lien

    96 : 9 rouges (1er ex-aequo), 83 jaunes (3e)
    97 : 6 rouges (3e ex-aequo), 99 jaunes (1er)
    98 : 6 rouges (1er ex-aequo), 74 jaunes (1er)
    99, au top : 17 (!!!) rouges (1er), 87 jaunes (1er) <3
    - - - - - - - - - - - - -

    C'est marrant car Sébastien Pérez et Cyril Rool ont quitté le club à l'été 1998. Par contre, Franck Jurietti est resté.

  • Ba Zenga le 14/03/2014 à 13h53
    Oui, j'ai même hésité à faire un Mourinho all-time. Pour ce qui est de la place de certains dans le Top 10, on a essayé de donner sa chance à tous. Et bien sûr que l'OM a été cité, par moi le premier. Et dire que je suis marseillais. Je sors.

  • magnus le 14/03/2014 à 13h55
    Ben, il s'agit d'équipes qui ont exposé leur enfoiritude sur la scène internationale donc assez marquantes, et comme les français ne s'y expriment pas souvent c’est plus dur. Va expliquer à un italien ou un anglais que le Nice de Gernot Rhor ça c'était une équipe d'hommes.
    Ou alors les Bleus de 2010.

  • magnus le 14/03/2014 à 13h57
    Tonton Danijel
    aujourd'hui à 13h52
    "C'est marrant car Sébastien Pérez et Cyril Rool ont quitté le club à l'été 1998. Par contre, Franck Jurietti est resté."

    Et Fred Mendy
    Et Casanova
    Et Morlaye Soumah
    Et Swierczewski
    Et Valéry

  • pavlovitch le 14/03/2014 à 14h06
    magnus
    aujourd'hui à 13h55
    Ou alors les Bleus de 2010.

    >> Pour être de vrais enfoirés, il faut gagner des matchs, quand même...

  • Milan de solitude le 14/03/2014 à 14h45
    @pavlovitch : pourquoi les Bleus de 2006 ??

    Je me souviens très bien de la finale 2010. Nourrissant une certaine aversion pour l'Espagne, je souhaitais sa défaite dès avant le début de la compétition ; mais au bout de trois minutes, vu le jeu des Néerlandais, j'ai compris que je ne pouvais que prendre fait et cause pour les Ibériques, et exulté cent quinze minutes plus tard.

  • Matu-Verratti-Vieira-Touré-Clément-Cearà le 14/03/2014 à 15h10
    On ne m'enlèvera pas de l'idée que l'arbitre du match Pays-Bas/Portugal est particulièrement nul. Il y a au moins 6 fautes qui méritent le carton rouge direct et il en sort pas un seul (direct hein).

    Sinon, pour répondre à Josémi, les hollandais ne sont pas arrivés en enfants de coeur, mais on ne peut pas dire que les portugais aient été en reste (coup de boule sur Van Bommel, tacles assassins de Costinha et Deco). Et encore, je ne parle pas de leurs simulations.

  • Mama, Rama & Papa Yade le 14/03/2014 à 22h05
    Un franc bravo aux co-rédacteurs.

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