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Paris-Marseille, l'affiche cuisine

Après avoir fait le bilan de violences plutôt limitées mais qu'il s'agit de ne pas banaliser, on retiendra les enseignements sportifs de ce sommet plaisant, qui semble redéfinir les ambitions de chacun des clubs dans ce championnat…
Auteur : Pierre Martini le 28 Oct 2002

 

Sport extrême Comme pour commenter le déploiement policier (voir Psychose toujours), on est un peu hésitant pour qualifier le bilan sécuritaire de ce PSG-OM. Car à moins de considérer que le bouclage et la militarisation d'une zone urbaine entière représentent la normalité d'un match de football, ou que les incidents survenus à l'intérieur ou à l'extérieur du stade furent isolés, il est un peu délicat de se réjouir de la réussite relative de l'événement: 61 interpellations, 24 mises en examen, 8 hospitalisations ne constituent pas un bilan tout à fait normal…

Malgré l'important dispositif de sécurité, un hooligan multirécidiviste a réussi à entrer sur le terrain.
Pour le téléspectateur en tout cas, les seuls moments déplorables furent les exercices balistiques dont Ronaldinho fut l'objet au moment de tirer un corner devant la tribune des visiteurs. Ces provocations peuvent faire dégénérer ce genre de rencontres, la bêtise n'attendant que ça pour se déchaîner. On a d'ailleurs vu quelques répliques dans le coin opposé, l'artillerie parisienne étant toutefois moins lourde (mais devant une banderole "Hoolicool", c'est un peu moyen), et la tension est montée d'un cran dans les duels. Les supporters marseillais en déplacement (du moins certains d'entre eux) sont malheureusement des spécialistes de cet exercice, comme l'admet le responsable sécurité de l'OM (1). On se souvient qu'au même endroit, lors du même match l'an passé, un autre pétard avait fait la même victime (comme quoi il y a des continuités dans le coaching de Fernandez: c'est Ronaldinho qui tire les corners côté gauche). Lors de la saison 2000/2001 à Bordeaux, c'est Nelly Viennot, quelques semaines après le fameux Strasbourg-Metz, qui subissait le même bombardement (voir Banale violence). À l'époque, la réalisation de Canal+ avait montré les joyeux lanceurs dans la tribune, sans que ceux-ci soient le moins du monde inquiétés. Cette fois, le dispositif incluait une vidéosurveillance renforcée et la présence sur place de magistrats. Surtout, la volonté d'intervenir a été manifeste, puisqu'il semble que des supporters marseillais aient été interpellés dans la tribune même. Un exercice hautement périlleux si l'on se rappelle le 28 août 93, date d'un PSG-Caen au cours duquel dix CRS avaient été blessés, dont un grièvement, après s'être trouvés isolés dans la tribune Boulogne. Un haut fait de barbarie qui avait également été filmé. En ce temps, 450 policiers avaient été mobilisés, contre 2000 aujourd'hui (Le Monde, 31/08/1993). Cet indice donne une mesure l'inflation de la violence dans la dernière décennie — à moins qu'il ne témoigne plutôt de la plus grande prise en charge du problème par les autorités. Francis le Belge C'est d'autant plus dommage que l'état d'esprit sur le terrain a été remarquable, si l'on met de côté d'entrée en jeu de Francis Llacer, dont l'interdiction de stade n'a jamais été appliquée et qui s'est juste essayé à battre son record de vitesse de prise de carton. Dommage que Fernandez souscrive encore à de vieilles recettes, l'entrée d'un joueur d'expérience en fin de match ne servant pas ici à calmer les esprits mais à mettre la semelle stupidement. À l'inverse du latéral parisien, le comportement d'Alain Perrin a été courageux et intelligent, d'abord en intervenant devant la tribune marseillaise, puis après le match en reconnaissant les lacunes de son équipe plutôt qu'en revenant sur le penalty litigieux. Pas certain que cette attitude soit appréciée dans une Phocée parfois belliqueuse qui souscrit au culte d'une certaine "virilité", dont les partisans croient en l'efficacité (ce que ne démentiront pas les résultats de la grande époque tapienne ni ceux de quelques précédentes confrontations entre le PSG et l'OM, voire d'un certain OM-Monaco). Paris plus fort Concernant la rencontre elle-même, on ne partagera pas l'avis général d'une écrasante domination parisienne sur de très faibles Marseillais. Si ceux-ci eurent du mal à s'offrir des occasions franches, ils furent tout de même "joueurs" et auraient pu écrire un tout autre scénario si le penalty concédé par Runje n'avait dégagé un avantage décisif avant la pause (la faute du gardien n'est pas évidente, mais il commet en revanche une erreur incontestable), ou s'ils avaient mieux profité des occasions de revenir au score en seconde période. C'est le fait d'avoir été un ton au-dessous dans tous les compartiments du jeu (mental, organisation, qualités individuelles, présence physique), plus que la supériorité absolue des Parisiens, qui explique qu'ils n'aient pas saisi la possibilité d'inverser la tendance. Mais de là à affirmer qu'ils ont été "surclassés" (L'Equipe), ou à y voir "la différence entre une équipe qui joue le titre et une petite équipe de L1" (dixit Alain Perrin lui-même), il y a un pas que nous ne franchirons pas, même si le vainqueur s'est dégagé sans discussion. En face, Fernandez avait choisi de se priver d'Aloisio au profit d'une seule pointe (Cardetti) épaulée par les modestes Ogbeche et Fiorèse, chargés de faire opposition aux montées de Hemdani et Dos Santos et d'écarter le jeu pour dégager l'axe. Si le petit avant-centre argentin ne marquait pas de buts de renard, on pourrait s'interroger sur son apport à l'équipe, mais son timing sur l'ultime but a tranché en sa faveur concernant ce match. On peut presque lui attribuer aussi l'ouverture du score, car en jouant à saute-mouton avec la trajectoire du coup franc de Ronaldinho, c'est lui qui a créé la brèche. L'arrière-garde parisienne, remodelée à la dernière minute par Fernandez au profit d'une défense à quatre qui a décalé Heinze à gauche, a évolué à son meilleur niveau et a été consolidée par la performance de Déhu et Nyarko, dont le volume de jeu et l'impact physique ont été décisifs. Venu superviser Pochettino, le sélectionneur argentin n'a pas pu ignorer Heinze… Mais bien sûr, l'homme du match fut le prodige brésilien, dont l'étonnante décontraction malgré les enjeux et les projectiles montre qu'il joue à sa main dans ce championnat de France. Efficace et spectaculaire, il s'est montré le vrai maître à jouer du PSG. Dans une rencontre hautement symbolique, il marque d'une belle empreinte — peut-être pour la première véritable fois, avec un fait d'armes plus probant que ses exploits individuels de la saison dernière — son passage au PSG (dont la durée suscite d'autant plus d'interrogations). Un tournant pour les deux équipes ? Placés à la même hauteur avant cette confrontation, le PSG et l'OM n'ont peut-être plus tout à fait les mêmes ambitions à son issue. Les limites de l'effectif de Perrin — toujours privé de Franck Lebœuf — étaient apparues chroniquement au fil de certains matches ratés (comme à Lille où la sanction du score fut la même). Elles sont confirmées par ce nouvel échec contre un cador, et à moins que le mercato ne compense certaines lacunes, offensives notamment, cela incite à revoir à la baisse les ambitions du club pour cet exercice. Mais en développant leurs nouvelles vertus et en continuant de travailler sous la houlette de leur technicien, les Sudistes devraient pouvoir garder à vue l'objectif d'un podium et surtout, au final, réussir cette saison de reconstruction. En revanche, le PSG conquiert petit à petit de nouvelles certitudes, malgré les doutes que nous exprimions il y a quelque temps à l'égard de son manager (voir Le PSG peut-il survivre à Vivendi et à Fernandez). Dans un championnat qui confirme année après année la prime accordée à l'humilité et aux valeurs collectives, Fernandez est peut-être en passe de réussir son pari avec une équipe composée majoritairement de joueurs de devoir. Assagi dans son comportement, il est peut-être également devenu plus raisonnable dans ses choix tactiques. Sur ce plan, la réussite du match de samedi lui donne raison. Le club de la capitale a en tout cas renforcé ses défenses immunitaires contre sa rituelle dépression hivernale. (1) Guy Cazadamont a déclaré: "Il nous reste du travail, notamment sur les corners. C'est un travail de deux semaines qui est à revoir"(Le Parisien).

Réactions

  • JPDarky le 28/10/2002 à 15h17
    Viennot est effectivement sorti sur une civiere, Ronaldinho non, c'est sur, c'est moins pire.

    Personnellement je ne vois pas pourquoi il faudrait avoir plus d'indulgence et moins s'indigner parceque le cretin qui a envoye ca vise moins bien que le cretin qui l'a envoye a la Meinau, l'idee etait la meme.

    Quant a savoir si une star est plus protegee qu'un arbitre, ben les faits sont la mon cher CELTIC BHOY : pour Nelly le match a ete arrete (et c'est normal), pour Ronaldinho on a continue le grand guignol ce qui a permis aux parisiens de s'illustrer sur Celestini.

    He oui.

    Au-dela des astiquages de neurones avec jolies reflexions sur le fond, la forme, la theorie, le souhaitable, le preferable, le je sais pas quoi, y'a juste la juxtaposition des deux faits.

    Ce qu'il faut conclure de ton post c'est que Ronaldinho aurait mieux fait de jouer la comedie et de se faire sortir sur une civiere pour que ce lancer de petard soit pris pour ce qu'il est, un attentat.

    Excuse moi, mais j'ai envie de vomir.

    JPD

  • CELTIC BHOY le 28/10/2002 à 17h04
    Merci de ne pas me faire conclure ce que je ne conclue pas. Dans mon post, je constate simplement (c'est juste un constat, pas une dissertation réthorique) que les gens, médias et instances du foot dans ce cas précis, ont une réaction en proportion de l'aspect spectaculaire de l'incident. C'est pas nouveau, et ça ne s'applique pas qu'au foot. Ceci dit, j'avais failli rajouter une vanne du style : Ronaldinho est encore un minot, il n'a même pas essayé de profiter de l'événement pour simuler, tel le Rivaldo moyen.

    Pour moi, sur le fond, ces deux gestes sont d'un même niveau, et sont les symptomes visibles d'un mal profond que pas grand monde cherche à guérir.

    Quant à tes commentaires sur l'astiquage de neurone, désolé de continuer en surchargeant le mien, mais j'ai simplement juxtaposé la différence entre deux faits, après que tu ais juxtaposé son point commun. Juxtaposer deux faits, d'ailleurs, c'est déjà s'astiquer les neurones. Et lorsqu'on dresse une telle hiérarchie qui paraît plus dictée par un supportariat, faut pas s'étonner non plus que ça fasse réagir.

    Ce qui m'a fait réagir, c'est ta conclusion du premier post, parce que dans cette "hiérarchie", j'ai plus vu un ressentiment de supporteur strabourgeois qu'une indignation spontanée. D'où ma remarque initiale qui tient toujours.

    Donc si j'ai mal compris ta conclusion initiale, on est d'accord que ces deux gestes devraient susciter une même indignation. Par contre, si je l'ai bien comprise, et bien on n'est pas d'accord. Ce qui, dans les deux cas, clôt le débat de mon côté.

  • JPDarky le 28/10/2002 à 18h18
    Tu peux y voir un ressentiment de strasbourgeois, un complexe d'inferiorite de nabot du foot envieux devant les destroyers chatoyants qui s'affrontent avec des vraies stars, tu peux y voir beaucoup de choses, tu peux meme dire que simplement juxtaposer des evenements c'est deja un astiquage de neurones, absolument, il n'empeche, le contraste est saisissant.

    C'est tout, ce n'est pas si important remarque, mais je pense que le message global est assez interessant pour les differents groupes de supporters.

    Je peux te recoller la juxtaposition des differents faits [Nelly a la Meinau, Nelly a ex-Lescure, supp de l'OM dans le coma, petard sur Ronaldinho, bouteille sur Celestini] avec la juxtaposition des differentes peines et reactions subies par les clubs en question [match annule a rejouer ensemble des supporters du club traines dans la boue dans la presse, rien, amende match avec sursis indignation de la presse, rien, rien]. Je ne chercherai pas a te convaincre, par principe nous camperons chacun sur nos positions, donc bon. Le principal c'est que tout le monde soit content a la fin.

    JPD

  • JPDarky le 28/10/2002 à 21h33
    Arf! Et j'oubliais encore, le meme soir que l'attentat sur Nelly a la Meinau, l'orange a la pomme d'adam d'Adam, au Parc. Mince, j'ai plus mes fiches, je me souviens plus de combien de matchs le parc des princes a ecope comme suspension, zut, ho ben ca devait etre pas mal vu que la le joueur il a ete atteint, ca rentre donc dans la categorie "cible touchee" donc indignation nationale ? Ha merde non, le mec est meme pas sorti sur une civiere.

    Fatalitas.

    JPD

  • CELTIC BHOY le 28/10/2002 à 21h54
    Ne me fais pas dire ce que je ne dis pas. Je ne dis pas c'est du ressentiment de supporteur, juste que ces sous-entendus m'y font penser, et je pose la question, c'est tout. Tu n'y réponds pas directement, c'est ton droit. Mais si je pose une question, c'est p'têt bien que je ne cherche pas forcément à camper sur une position. D'autant que sur le fond, je ne pense pas avoir dit autre chose que ce que tu écris. Il y a seulement le sous-entendu que je ne partage pas.
    Là où tu as peut-être raison en revanche, c'est que si ton seul argument dans l'histoire c'est un complot international visant à empêcher le RCS d'être champion du monde, tu as peu de chance de me convaincre en effet. Parce qu'à mon avis le monde entier, à peu de choses près, n'en a rien à foutre.

    Mais bon, si ça te fait plaisir et pour devancer tes interprétations et t'éviter la peine de réécrire les propos que tu voudrais me voir écrire, je te lance ce cri du coeur :

    VIVE LE COMPLOT INTERNATIONAL QUI EMPECHE LE RACING CLUB DE STRASBOURG D'ETRE LE MEILLEUR CLUB DU MONDE !

    Et sois beau joueur. On est quand même vachement fort d'avoir trouver l'idée de créer IMG et le golem Proisy pour faire le sale boulot en silence.

  • JPDarky le 28/10/2002 à 22h52
    Arf! Le golem Croizy, elle est bien bonne celle la!

    En fait, j'ai moi-meme du mal a retrouver mon argument premier, ha ouais; je relis les premeirs posts (oui, j'ouvre une deuxieme fenetre, c'est dingue la technologie), c'etait quoi ? Ha oui, au depart c'etait une charge contre les medias, oui c'est ca, je me cite vaguement : "on nous vend des supporters parisiens nazis toute la semaine et a la fin on a des marseillais qui balancent un petard sur le coin de la tronche de Ronaldinho", un truc du genre. Ou bien?

    Sinon, pour le complot, c'est franchement pas la ou je voulais en venir, parcequ'a mon avis tu peux remplacer RCS/Meinau par, je sais pas; allez,
    au hasard Toulon par exemple ?... Un petit peu de memoire... Donc il se trouve que l'histoire de Nelly a eu lieu a la Meinau, mais disons que lorsque ce genre d'incidents est reellement sanctionne c'est en general ailleurs que dans les clubs "dont on ne peut se passer en D1", je cite une grande phrase de grand journaliste.

    Voila, c'est tout, pour le complot anti-RCS, je dis bof, on avait tonton Croizy a la Ligue a l'epoque, on a eu quelques grands moments de sympathie de l'establishment avec Fraise dans l'Aube qui nous offre trois points et quelques autres choses assez amusantes mais qui n'ont pas suffi. De maniere general je pense que mon club est largement assez capable de se foutre dans la merde tout seul sans que les illumines de Baviere ou la secte d'Eris soit a soupconner de vouloir lui faire la peau (qu'il a dure).

    De toute facon; le RCS a survecu a beaucoup de choses, Hechter, Gravelaine, Pita, Jeandupeux, Lemerre, Girard, etc etc, il survivra bien a Croizy et les canadiens quand ils se barreront (avant 3 avant), et meme
    s'il le faut a cet atroce complot inique des instances; des journalistes, de l'intelligentsia mediatico-financiero-montevideo-bittero-maravilloso-footbalistique qui a peur evidemment de la gloire choucroutiere.

    Sinon, ca va ?

    JPD

  • CELTIC BHOY le 29/10/2002 à 10h38
    A ma connaissance le stade du Ray n'a pas été sanctionné après les incidents de NIce-Marseille, au cours de laquelle des spectateurs ont été gravement blessés à coup de pétard par des supp niçois. En revanche, la justice suit son cours (voir le forum "observatoire de la violence"). Je n'ai pourtant pas l'impression que NIce soit un membre éminent du top de la crème fouettée du foot français.

  • El mallorquin le 29/10/2002 à 10h57
    Tu parles quand même d'un club Liguedeschampionnisable le Bhoy.
    ;-))

  • JPDarky le 29/10/2002 à 11h13
    Ho ben c'est bon alors, alors on va dire que c'est l'incident de la Meinau
    qui est une exception.

    ok.

    apres tout, finalement on l'a gagne ce match (sur tapis vert), de quoi on se plaint hein, c'est vrai.

    bon, la prochaine fois qu'un con envoie un petard a la Meinau, j'espere que ce sera sur un supporter adverse, ca coute moins cher que sur une juge de touche, pour le stade et le club.

    (mais oui, parmi les points que je soulevais, et au-dela du point de vue meinauvo-meinauvien, il y avait cette fameuse echelle de valeurs des humains, mais la encore, on n'est pas d'accord).

    JPD

  • CELTIC BHOY le 29/10/2002 à 11h20
    je crois que les supp niçois ont bombardé des spectateurs niçois ! donc, médiatiquement, ça compte pas, ça rentre pas dans le cadre de la haine tribale que le foot est sensé créer.
    et puis, depuis samedi, après avoir fait monter la sauce, les média devaient surtout montrer que le formidable déploiement sécuritaire était un brillant succès à porter au crédit des autorités. Alors pour un pétard qui n'a même pas empêché Ronie de tirer son coup franc, on n'allait pas déclencher le plan Orsec.

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