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Out of Europa

La traditionnelle élimination des clubs français, boutés hors des coupes d'Europe, invite cette fois moins à se lamenter sur les "handicaps" français qu'à regarder en face l'incapacité de nos équipes à jouer simplement à leur niveau…
Auteur : Jamel Attal le 28 Fev 2002

 

C'est fait, on s'en doutait un peu, mais l'heure est arrivée de l'enterrement annuel des clubs français, tous proprement éliminés des coupes d'Europe. D'ordinaire, c'est le moment d'entendre le Chant du Déclin, la Complainte de la Fiscalité Etrangleuse et autre Mélopée du Retard Français. Sauf qu'on les entend toute l'année maintenant, et que cette fois au contraire, on n'entendra pas son principal interprète.

Les Tchèques sont des hérétiques
L'élimination de l'Olympique lyonnais par Liberec est en effet lourdement symbolique. Non pas qu'il serait facile d'ironiser sur cette élimination par un vulgaire club anonyme, car l'équipe tchèque est tout simplement une excellente équipe, qui a mérité sa victoire aussi largement que fut large le score du match retour. Point de penalty litigieux (d'ailleurs, on ne gueule pas sur les arbitres en Coupe d'Europe), point de coup de Trafalgar ou de déveine, juste une supériorité sportive très logiquement récompensée pour une formation qui avait déjà épinglé Vigo et Majorque à son tableau de chasse.
Le problème est que cette logique est une pure hérésie pour les gens qui comme Jean-Michel Aulas établissent une équivalence presque absolue entre les moyens financiers et les résultats. Le budget de Liberec étant 50 fois inférieur à celui de l'OL, c'est un peu comme si toutes les théories aulassiennes étaient tournées en ridicule, bien plus que sa défense centrale.

Routine de la déception
Aulas et le Club Europe sont à la France ce que Florentino Perez et le G14 sont à l'Europe. Sauf que la doctrine qui est censée faire le bonheur de l'élite française l'exclut totalement du haut niveau européen. Et l'on se fait bien des illusions en croyant qu'avec une défiscalisation, la propriété des droits télé et l'entrée en bourse, nos clubs rattraperont Manchester United ou le Bayern (voir L'ultralibéralisme expliqué aux enfants).
On se dit tout de même que la Coupe de l'UEFA est à la portée des équipes françaises. On se le dit d'ailleurs depuis longtemps. Mais, comme cette saison, on voit le PSG, Lyon ou Bordeaux jouer très en dessous de leurs moyens et quitter la compétition prématurément. Lille est une sorte de contre-exemple, car son parcours européen est très honorable, et il finit face à un grand d'Europe en étant passé pas très loin d'une qualification. On regrettera quand même son léger manque d'audace, mais le LOSC, club pauvre s'il en est, démontre que l'on peut jouer au mieux de ses ressources, aussi réduites soient-elles (par contre, le différentiel entre Nantes et Manchester a semblé d'une autre dimension mardi soir).

Où sont les grands ?
Le mal est visiblement ailleurs, notamment (on est désolé de se répéter) dans l'incapacité des présumés grands clubs à mériter leur épithète et à aligner les saisons avec suffisamment de régularité et de continuité, tant sur le plan des politiques sportives que de la gestion générale. La représentation française en Ligue des champions n'a pas seulement souffert de la formule enrichie de la compétition, mais aussi de l'incapacité des cadors français à y assurer une présence régulière. L'ironie veut que l'OM risque l'exclusion du G14 pour cause de non-qualification européenne trois saisons consécutives. Monaco a été incapable de survivre à ses deux titres nationaux, Paris n'en a pas remporté. Lyon réunit des conditions essentielles (stabilité, gestion sportive cohérente), mais plafonne désespérément, déjà au plan national…
Ces clubs avaient pourtant largement les moyens financiers et sportifs de réaliser une partie de leurs objectifs, mais ils n'y sont même pas parvenu sur leur propre territoire. Ce sont leurs dirigeants qui, incapables d'exploiter leurs atouts, réclament un radical et suicidaire changement de régime. Faut-il accorder un quelconque crédit à ces losers professionnels? On a plutôt l'impression qu'avec moins de moyens, ils auraient fait mieux…

Et si on arrêtait de pleurer?
A force de pleurer sur les faiblesses de notre foot national, tout le monde finit par y croire. L'exil des internationaux n'est pas le signe d'un rédhibitoire affaiblissement. Rien n'a changé en fait depuis trente ans: les meilleurs joueurs du monde ne jouent pas majoritairement en France. La différence c'est que les meilleurs joueurs du monde sont français. C'est un peu énervant quand on voit jouer Arsenal, mais il y a pire situation que d'être champions du monde. Avec les discours défaitistes, on en revient à l'époque où les clubs français faisaient tellement de complexes qu'ils ne parvenaient pas à battre moins forts qu'eux et s'inclinaient toujours par manque de chance, de physique ou d'expérience. Sauf que maintenant, ces excuses ne tiennent plus.
L''attractivité des joueurs français (notons qu'il n'y a pas que les meilleurs qui partent*) montre qu'on est capable de les former — on le voit avec l'éclosion de prometteuses générations. Il ne faudrait pas non plus oublier que nous disposons d'excellents techniciens, que des joueurs exceptionnels évoluent sur les pelouses de France, que les stades sont beaux et presque pleins... Tout est là, il ne manque finalement qu'un peu de courage et d'intelligence. Au lieu de cela, le foot pro offre des scandales judiciaires, des coups d'état, des pillages internes, des limogeages d'entraîneur, des déficits, des pressions sur les arbitres, des guerres entre les familles du foot…

*¨Par contre, les meilleurs ne reviennent jamais.

Réactions

  • MickaelMadar le 01/03/2002 à 15h00
    bon en ce qui concerne le fait que l'on se fasse chier tout les mercredi soir , je ne suis point tout a fait d'accord , car dès que les 1/4 de finales vont arrivé ça va etre super , je me rappelle encore en 2000 , ct exceptionnel , avec des match somptueux , valence - lazio fut un des matchs les plus fou que j'ai vu , barça chelsea ct génial , real - manchester n'en parlons point ! , et l'année derniere c'etait pas mal non plus ...
    pour revenir au sujet qui nous interesse , si les clubs français on effectué un progression entre 88 et 96 c'est avant tout grace a des dirigants ambitieux , roublard a l'extreme avec quelques affaires par clairs pour certains , dans des clubs a fort soutien populaire et a gros stades , avec une conjecture tres favorable ou les clubs possedait beaucoup de tres bon joueurs encore sous evalué , un peu comme le dynamo kiev avait rebrov et scheva . Mais en dehors de circonstances favorables , la force d'un championnat n'est pas difficile a evalué il suffit de multiplié la pouplation par l'engouement populaire (pris dans son aspect brut) pour le foot et par un indicateur de developement economique du pays ,
    on peut donc a partir de la diviser l'europe en plusieurs chapeau
    loin devant : italie espagne angleterre allemagne , qui au cours du temps connaitront tous des periodes pleines et creuses

    derriere : france portugal pays bas et turquie qui monte bien ces derniers temps , ce qui n'est pas si mal est permet de remporter quelques coupes d'europe

    encore un peu plus loin : belgique ecosse republique tcheque russie ukraine pologne ....

    il faut arreter de croire que les clubs français peuvent rivaliser de façon totale avec les 4 grands , il suffit de regarder les affluences dans les stades , d'ailleur c'est pas un hasard si les 2 clubs français qui on gagné une coupe d'europe sont ceux qui sont les plus populaires . La france n'est pas un pays de football , bien moins que l'argentine ou l'espagne par exemple , mais avec une grosse population donc un nombre de licenciés important et une capacité a former a s'entrainer elle peut parfois etre tres performante comme c le cas pour notre equipe nationnale.
    Alors les ambitieux comme aulas doivent se rendre compte que leur club est un petit club au niveau européen et le gérer en conséquence , etre un peu plus modeste , l'an passé aulas declarais que l'ol etait dans les 16 meilleurs equipes d'europes ; de plus il faut que le championnat retrouve sa stabilté pour que les equipes soient capable de jouer a leur niveau et c pas avec bourgouin et autres qu'on va y arriver ... la france est quand meme un des seul pays ou la hierarchie est aussi deroutante ce qui prouve la faiblesse de la d1 , dans tout les autres championnats les gros a une ou deux exceptions sont en tete . Tout le probleme est la .

  • soupalognon le 01/03/2002 à 15h14
    Je ne suis d'accord ni avec l'article de Jamel, ni avec les reactions du forum (pour changer). La fiscalite est un element long terme a prendre en consideration au meme titre que le talent des joueurs et managers.

    Les exemples que vous prenez ne valent a mon avis pas grand chose.
    1- il y a tout d'abord une serie d'exemples de clubs relativement pauvres reussissant bien que vous prenez. Selon vous, ces exemples prouvent que l'argent est une consideration mineure voire nulle dans l'equation menant au succes sportif. Ces exemples ont tout sauf valeur de demonstration. Qu'il ya ait chaque annee des petits poucets qui creent des surprises, ce n'est pas nouveau, mais combien de temps peuvent-ils durer au plsu haut niveau? Chacun sait qu'en foot, il y a une part de chance, de magie, d'entente collective qui fait que parfois une equipe de joueurs individuellement moyens peut se depasser et etre superieure a la somme de joueurs plus doues mais qui n'ont pas atteint ce momentum.
    Et c'est dans des cas comme cela ou que le foot est beau a voir.
    Mais malheureusement de moments comme cela sont rares a l'echelle d'une equipe et il est relativement plus aise de construire une equipe competitive en additionnant les stars qu'en comptant sur le centre de formation.

    C'est evidemment le choix de tous les grand clubs europeens. La vraie question est donc de savoir quelle est la condition absolument necessaire (mais pas suffisante)pour faire partie du gratin europeen? avoir les moyens d'attirer les meilleurs joueurs.
    La preuve c'est qu'Il n'y pas un seul club pauvre a atteindre regulierement les phases finales de l'UEFA ou de la ligue des champions. pas un seul. Tous les exemples que vous donnez sont ponctuels et relevent du phenomene que je decrit plus haut.

    2- Je voulais egalement relever un argument particulierement debile sur l'AS Monaco qui m'exaspere et releve de la faute de raisonnement primaire. En gros voila ce qu'ils disent:" Monaco n'est pas bon cette saison, or Monaco n'est pas soumis aux meme pressions fiscales que les autres clubs francais, donc les pressions fiscales n'ont rien a voir avec les performances sportives des clubs."
    Ai-je besoin de rajouter quoi que ce soit?
    Dans le genre mon poisson est bleu donc tous les poissons sont bleus , c'est pas mal.

    3*- Il y a ensuite un argument moral qui est egalement sans fondement: "ils gagnent suffisamment d'argent comme ca". N'oublions pas plusieurs choses, la premiere. c'est qu'ils le meritent, ces joueurs sont en regle generale des athletes allant au travers de selections drastiques. La seconde c'est que leur carriere est courte (10 a 15 ans) et que 99 % d'entre eux se retrouve a devoir se recycler a 30-35 ans. Combien deviendront entraineurs? Pas tant que cela. ce sont des tres hauts salaires pour une toute petite minorite d'entre eux sur des tres courtes periodes. Pas de quoi pleurer mais pas de quoi se scandaliser non plus.
    Troisieme chose, si cela vous degoute tous tant que cela, pourquoi n'allez vous pas vomir sur Zidane (et l'EdF) qui derriere ses discours sympas va jouer dans les plus gros clubs etrangers, la Juve, au Real et fait des pubs pour Ford?

    Enfin, je voudrais faire la distinction entre deux choses qui sont peut etre source de nos desaccords: un football competitif et un football plaisant voire passionnant ne sont pas necessairement la meme chose. On a besoin d'argent et d'une equite fiscale pour le premier, pas pour le second.

  • MickaelMadar le 01/03/2002 à 15h24
    j'ajouterais meme , que le passage de la d1 a 20 club montre bien que les dirigents n'ont rien compris , pour gagner une poigné de milions en plus par ans , on va faire baisser le niveau sportif et prendre du retard sur les autres , cela se payera encore au niveau européen . De plus cet argent va servir a quoi ? a faire venir des marcelhino , ne pas leur laisser la moindre chance , les revendre pour pas meme la piece a des clubs allemands ou ils exploseront tout ?

  • MickaelMadar le 01/03/2002 à 17h00
    mon bon ami , les club qui atteigne les sommets européens ont plus que de l'argent , ils ont avant tout des structures , terrain d'entrainement , centre de formation stade , et une histoire , l'argent chez eux n'est que le reflet de la vente de billet de produit derivé et les contrat signé qui sont dus uniquement a la popularité d'un club , la fiscalité na rien a voir la dedant ! Les clubs qui n'ont que l'argent ne tiennent pas bien longtemps ( matra racing )
    Je suis bien désolé mais lorsqu'un club est géré intelligement comme l'om avec courbis enfin sauf la derniere année , il peut etre relativement compétif et attirer de nombreux joueurs internationnaux ! Vous m'excuzerez mes braves mais lyon vu son budget et son importance en europe en dehors de toute fiscalité , ne peu prétendre a un meilleur effectif ! Et essayer de concurencer au niveau du recrutement direct les grands clubs européens est irréaliste , meme avec une fiscalité bien basse totti , raul , owen ne viendront jamais dans un club comme lyon car deja au niveau nationnal ou en conditon d'egalité sur la fiscalité ce club n'impose pas le respect . Je vous signalerais juste par ailleur que malgré des soi disant difficultée fiscale le Fc nantes a fait signé un des tout meilleurs défenseur européen en la personne de mario yepes , pourkoi ? par l'histoire du club , pour son beau jeu reputé de part le monde et non point que pour le simple attrait pécunier.

  • soupalognon le 01/03/2002 à 18h43
    il me semble bien que tout cela est lie non? ce que tu me decris est une maniere intelligente et planifiee de depenser/investir cet argent...
    Je ne te dis pas que les clubs francais ne peuvent pas attirer les joueurs consideres comme les meilleurs donc les plus chers, je dis qu'ils sont handicapes pour le faire. Tous les exemples que tu me donnes sont une fois de plus des exemples de clubs qui ont bien marche sur une saison et point.


  • redondo13 le 02/03/2002 à 07h37
    a mon avis le probléme est que handicapé par des conditions pas super favorables,les "gros clubs" veulent quand même jouer le même jeu(financier,recrutement, etc) que les Réal Madrid et autres Manchester qui eux ont les moyens de leurs ambitions (quoique..).
    Résultat gestion toute pourrie,recrutement hasardeux,problémes financiers et cela sans le moindre résultat sportif (Parce que le real quand il s'endette, au moins il gagne)

  • ZZ le 03/03/2002 à 10h56
    ça ne changera rien à tout ce qui a été dit et j'interviens après la bataille mais je voulais juste apporter une petite précision au sujet de l'ASM et de la fiscalité...
    Il est vrai que le club de la principauté n'est pas soumis à la même fiscalité que les autres clubs français... mais il faut qd même préciser que les joueurs français évoluant à l'ASM sont soumis à l'imposition sur le revenu comme tout français... Ce qui explique aussi pourquoi ce club n'a jamais pu faire une dream team française...
    Ceci dit, ça ne changer rien aux propos... Et se cacher derrière la seule fiscalité pour masquer son incompétence, c'est, pour ceux qui l'invoque, être à la hauteur de leur comportement habituel...

  • ZZ le 03/03/2002 à 10h56
    ça ne changera rien à tout ce qui a été dit et j'interviens après la bataille mais je voulais juste apporter une petite précision au sujet de l'ASM et de la fiscalité...
    Il est vrai que le club de la principauté n'est pas soumis à la même fiscalité que les autres clubs français... mais il faut qd même préciser que les joueurs français évoluant à l'ASM sont soumis à l'imposition sur le revenu comme tout français... Ce qui explique aussi pourquoi ce club n'a jamais pu faire une dream team française...
    Ceci dit, ça ne change rien aux propos... Et se cacher derrière la seule fiscalité pour masquer son incompétence, c'est, pour ceux qui l'invoque, être à la hauteur de leur comportement habituel...

  • desoub le 05/03/2002 à 11h03
    Quelques exemples pour vous montrer que la fiscalité en vigueur et le budget des clubs n'ont pas de corrélation avec le résultat des clubs:
    - l'Ecosse a sûrement une des fiscalité les plus avantageuses d'Europe et pourtant...
    - l'Allemagne a à peu de chose près une fiscalité comparable à celle de la France et pourtant le Bayern est demi-finaliste de la ligue des champions tous les ans!
    - Alavès, Dynamo Kiev, Liberec, Chievo Verone, Calais, Gueugnon, Sankt Pauli... ont prouvé ces dernières années qu'à force de culot, de courage, d'intelligence et de talent n'importe quel "petit" pouvait se farcir un "grand d'Europe"
    En effet, le football n'est qu'une remise en question permanente. Il faut prouver tous les week-ends que l'on est une grande équipe! Et c'est peut-être trop dur pour des présidents mégalos et des joueurs ultra-narcissiques (cf Nicolas A. de Trappes!) d'accepter l'échec face à des "petits"!
    Par contre, il est facile pour les dirigeants français de cacher leur incompétence derrière la fiscalité, la faiblesse supposée d'un entraineur, l'entrée en bourse ou d'autres épouvantails du même genre! Au lieu de se comparer aux grands clubs européens et de penser qu'en ayant le même système qu'eux ils arriveront aux mêmes résultats, ils feraient mieux de travailler sur eux-mêmes!


  • redondo13 le 07/03/2002 à 07h46
    c'est clair que les plus grands progrés que pourra faire la France sont plus au niveau de la mentalité que des capacité économique.
    On gére nos clubs de maniére plutôt chaotique j'ai l'impression,même en Espagne ou les présidents peuvent changer tout les 4 ans,la gestion est plus linéaire.
    Quant aux joueurs le proffessionalisme n'est qu'un vain mot ,y'a qu'à voir Anelka, et les échecs récurrents des clubs voulant monter des grosses équipes avec des joueurs qui se prenez pour des stars. à quand un systéme comparable à l'Italie ou le premier joueur qui l'ouvre va joueur en primavera 2 semaines!!

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