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Fiche technique : l'Ukraine

L’Ukraine ne compte pas que sur Chevtchenko pour briller : en exclusivité, nous vous livrons les autres secrets de guerre de la sélection de Blokhin.
le 4 Juin 2006

 

Pour sa première participation, l’Ukraine participe à la Coupe du Monde dans l’espoir de se faire enfin connaître sur la scène internationale autrement qu’en tant que « pays de Tchernobyl ». Car ce pays dont l’image renvoie désespérément à une carcasse de tracteur abandonnée dans un champ irradié est prêt à tout pour qu’on parle de lui en bien, au moment où les dirigeants lorgnent l’UE et l’Otan. C’est donc une grande campagne de relations publiques que l’Ukraine s’offre avec le Mondial, l’objectif affiché étant d’obliger la planète entière à mentionner l’Ukraine aussi souvent que possible, par tous les moyens imaginables.


Le point fort
Avec sept joueurs portant le même prénom – Andreï  , l’Ukraine bénéficie d’un effet de surprise non négligeable : les adversaires seront désarçonnés par les appels croisés de tous ces blondinets qui s’interpellent de la même façon et suivront Vorobeï en laissant Chevtchenko tout seul.

Le point faible
Être persuadé de pouvoir gagner en organisant un sit-in pacifique dans la surface de réparation, sur le modèle de la révolution orange.

ukraine_drapeau.jpg

Le rôle de l’Ukraine
Humilier la Russie, d’abord en étant présente à une compétition pour laquelle le grand frère ne s’est pas qualifié, ensuite en révélant leurs t-shirts « Goodbye Putin » à chaque but inscrit.

Comment reconnaître un joueur ukrainien ?
Il brille quand il fait nuit et tous les appareils électriques se dérèglent en sa présence.

Quel Ukrainien faut-il surveiller ?
Indéniablement, Sergueï Rebrov. Apparu au monde en 1999 en tant que jumeau maléfique de Chevtchenko, il a depuis sombré dans une carrière anelkienne, voire pedrossienne. Sa rancœur à la vue de la gloire de son ancien comparse le poussera-t-elle à lui briser une jambe en plein match ?

Le scénario idéal
Malgré une défaite face à l’Espagne, le pays se qualifie facilement contre la Tunisie et l’Arabie saoudite en échange d’un accord gaz-pétrole. En huitièmes, la star des Bleus, Franck Ribéry, s’écrie soudain : « Papa ! C’est toi ? ! » en apercevant Viktor Iouchtchenko dans les tribunes et s’effondre d’émotion, laissant son équipe désemparée. Même si l’Ukraine s’incline en finale face aux Etats-Unis, un baiser de Laura Bush transforme Iouchtchenko en George Clooney.

Le scénario catastrophe
Alors qu’ils viennent de triompher face à l’Espagne, les Ukrainiens reçoivent la visite d’encouragement de Serguei Boubka, qui leur laisse une soupe du pays. Le lendemain, défigurés et souffrant de terribles troubles gastriques, tous les joueurs rentrent au pays. Le monde oublie l’Ukraine et la Russie en fait le 90ème sujet de la Fédération. Une poignée de main de Vladimir Poutine achève de dissoudre Viktor Iouchtchenko.

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