Partis Sans Gloire – Mauricio Pochettino
13/10/2008 – 14:06A « Paris Sonne le Glas », nous savons être magnanimes.
Alors, si vous faites partie des cohortes bêlantes de téléspectateurs du Droit de Savoir en quête de mise à jour des activités de votre role-model préféré, si vous avez vécu en Papouasie Nouvelle Guinée ces 15 dernières années, si vous pensez qu’un logo « Renault Trucks » est très acceptable comme look footballistique idéal, si vous portez des chaussettes dans vos sandales : nous vous proposons de sauver vos âmes en vous présentant les joueurs mythiques du PSG.
Carrément.
Carrément.
Mauricio Pochettino
Mauricio Pochettino est né Argentin le 2 mars 1972 à Murphy, d’où une certaine propension à emmerder maximalement les attaquants adverses. Pour avoir joué cinq matchs avec Maradona aux Newell’s Old Boys, il purgera six mois ferme au Haillan avec Bruno Basto, comme quoi tout se paye.
Entre les deux, il est en cavale deux saisons et demi au PSG, à qui il essaye d’inculquer la garra, sorte de grinta de la pampa qui se danse sur les genoux des muchachos d’en face. Seul l’élève Heinze embrassera la voie de son maître en ayant l’idée d’y ajouter les coudées franches, les autres marquis germanopratins préférant continuer à gigoter sur leur célèbre petit menuet à contre-temps.
The club in the Pocket’ reste l’Espanyol, où il a passé neuf saisons pour une Copa del Rey et une pige avec José Cobos, comme quoi tout se paye, mais parfois t’as une réduc’.
Luis a dit un jour de 2001 «Je veux onze Pochettini sur le terrain». Le soir même, l’un d’entre eux ratait son penalty face aux Rangers. Ne sachant quel Pochettino blâmer, Luis a tiré au sort et c’est tombé sur Ronaldinho, comme quoi tout se paye, même la pré-retraite de nos glorieux aînés.
Cette pizza au caviar sera payée au centuple à un certain Monsieur Mario.
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2 267 réponses to “Partis Sans Gloire – Mauricio Pochettino”
je l aimais bien moi poké…le pokémon de luis!!!!
De pablo escobar le 14/10/2008
Franchement, il peinait sur la fin, mais avant il a beaucoup apporté : il défendait bien mieux qu’un Yepes, et c’était un vrai leader de défense. Même Coupet nous enviait notre quatuor de derrière.
De Double Bietry le 14/10/2008