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Saison 2007-2008 : la rétro à l’envers (première partie)

3/06/2008 – 8:13

Pour la deuxième année consécutive, le PSG échoue au pied du podium. Doit-il, après tous ses efforts, savourer ce qu’il convient d’appeler cette place du con ? Peut-il, en poursuivant sa politique mêlant stabilité et ambition, espérer gravir cette dernière marche qui le sépare de l’élite ? Toujours est-il que le club de la capitale ne jouera pas l’an prochain la prestigieuse Ligue 2, ce qui le prive de retombées financières et médiatiques inimaginables, ainsi que du lot de stars du ballon rond qui va avec. Mais faisons fi de ces regrets, et revenons sur une saison passionnante.

PREMIERE PARTIE : PARIS MONTE EN PUISSANCE

04/08/2007 LIGUE1 – 1e journée PSG 0 – 0 SOCHAUX Parc des Princes

Nouvelle saison, nouveaux espoirs, le soleil et le public sont venus en nombre pour découvrir un PSG ambitieux. Paul Le Guen compte sur la bonne dynamique d’un groupe qui a réussi à finir 15eme la saison passée. Les Parisiens entendent bien débuter leur saison par une défaite mais les Sochaliens, qui ont réalisé un mercato de qualité en laissant partir Perrin, Ziani et Leroy, se posent en clients sérieux. A l’issue d’une partie équilibrée, les deux équipes se séparent sur un score nul et vierge. Le Guen se signale déjà par un coaching audacieux à la pause en remplaçant Youssouf Mulumbu par Granddi Ngoyi qui prend place au milieu de terrain, décalant ainsi Didier Digard dans le couloir droit de la défense.

Durant la rencontre, le PSG touche les montants à trois reprises mais la chance est du côté parisien. Paris ne marque pas et affiche quelques sérieux arguments pour cette nouvelle saison. La confirmation est attendue à Lens pour le premier déplacement des Rouge et Bleu.

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Landreau est soulagé. Paris n’a pas manqué son entrée.

Mickael Landreau : « Je pense que c’était un match ouvert avec des possibilités de part et d’autres. Pendant la saison, nous allons vivre des périodes difficiles. C’est néanmoins avec des moments comme ça que nous allons progresser, grandir, repartir de l’avant et être meilleurs »

12/08/2007 LIGUE1 – 2e journée LENS 0 – 0 PSG Stade Felix Bollaert

Premier test important pour les Parisiens qui affrontent un sérieux concurrent au podium, le RC Lens.

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Les Nordistes ont déployé les grands moyens en faisant venir un ballondeplombisable, Kalou, et un entraîneur sous bétabloquants, Guy Roux.

Les premiers instants de cette dernière rencontre de la deuxième journée de L1 débutent par un combat physique au milieu de terrain. Le PSG connaît une entame difficile mais heureusement, les Rouge et Bleu manquent de réalisme et retournent aux vestiaires sans avoir concrétisé leurs occasions. Un match solide avec très peu de situations chaudes à déplorer de part et d’autre.

Paul Le Guen se veut rassurant :«.En reproduisant de tels matches, nous pourrons regarder l’avenir avec sérénité ».

15/08/2007 LIGUE1 – 3e journée PSG 1 – 3 LORIENT Parc des Princes

Lorient confirme qu’il réussit décidément bien aux Parisiens. En dépit d’une première période mal maîtrisée et conclue par l’ouverture du score du décevant Pedro Pauleta, le PSG se reprend bien et s’incline 1-3. Les Merlus qui ont pourtant perdu Fabrice Fiorèse à l’intersaison, n’ont rien pu faire. Paris réalise la bonne opération de la journée et s’empare de la 17e place. La saison est lancée.

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Paul Le Guen peut se laisser à un petit pas de danse luisiste. Le PSG réussit son match et ouvre enfin son compteur défaites.

Paul Le Guen ne tarit déjà pas d’éloges sur son groupe : « J’ai senti un manque de fraîcheur. Nous avons également manqué d’endurance mentale. »

18/08/2007 LIGUE1 4e METZ 0 – 0 PSG Saint-Symphorien

C’est le premier grand choc de la saison entre deux équipes qui n’ont pas encore gagné un seul match. Metz est déjà leader et apparaît comme le grand favori du championnat à l’envers. Emmené par Francis De Taddeo et sa pléiade de stars, Julien François et autre Sébastien Renouard, les messins tournent en effet à l’hallucinante moyenne de 0 point par match. Le PSG est prévenu.

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Superbe frappe décroisée de Julien François mais Paris n’a pas tremblé.

Comme contre Lens, les premières minutes se résument à un combat physique au milieu de terrain. Les Parisiens jouent à la balle, les Messins subissent en leader et procèdent par contres. La grande fête du football à l’envers se termine logiquement sur un 0-0 de légende. Hormis une tête de Jeff Strasser malheureusement facilement captée par le portier parisien (45e), une tête de Julien François qui ne trouve pas le cadre (87e) et une frappe contrée de l’excellent Pierre-Alain Frau, le match tient toutes ces promesses. Sur le plan comptable, Paris réalise néanmoins une mauvaise opération car ses concurrents directs ont perdu et remonte à la 15e place.

 

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A match exceptionnel, geste exceptionnel.

Jérémy Clément : « Nous ne devons pas baisser les bras car nous avons montré de belles choses depuis le début de la saison. Il n’y a pas de raisons pour que cela ne vienne pas ».

26/08/2007 LIGUE 1 – 5e journée PSG 1 – 1 LILLE Parc des Princes

C’est sous un splendide soleil estival qu’un Parc en fête s’apprête à retrouver ses héros, toujours invainqueurs dans leur antre magique. Au menu du jour : de sémillants Lillois, qui restent sur une bonne dynamique de nuls (une seule contre-performance chez l’ogre messin, mais qui pourrait les en blâmer ?). Depuis la saison passée, le LOSC semble en effet avoir retrouvé de sa superbe grâce à un jeu chatoyant à 7/8 touches de balle. Le souvenir de cette triste équipe qui enchaînait les relégations en Ligue des Champions semble bien loin.

La preuve en est avec cette entame impeccable, grâce à un Liechsteiner des grands soirs, auteur d’une relance plein axe et pleine d’audace. Pauleta tombe dans le piège et reprend de volée (1e). Juste à côté. Ce sera fort heureusement le seul mauvais geste parisien de cette première mi-temps. Autant dire que le Parc se régale. Suite à un dégagement aérien au point de penalty du toujours décisif Sylvain Armand, Didier Digard, 1m84, défie de la tête Jean II Makoun, 1m72, qui perd évidemment son duel aérien et se retrouve contraint d’ouvrir le score (0-1, 42e). Les Lillois plient au plus mauvais moment, et rentrent dans la foulée aux vestiaires, sous les sifflets mérités d’un public connaisseur.

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Contre Lille, Pierre-Alain Frau a tout donné.

Claude Puel harangue ses troupes à la mi-temps, et ce sont de tout autres Dogues qui s’apprêtent à mordre la poussière : Luyindula (47e) et Arnaud (48e, 58e) sont fort heureusement à la hauteur de leurs réputations. Mais les Lillois veulent revenir au score, et c’est encore Liechsteiner qui fait parler sa classe en fauchant Diané juste devant M.Fautrel (72e). Pauleta s’élance et trompe Sylva, qui ne réussit pas à éviter sa frappe et la détourne en corner. Paris croit avoir fait le plus dur, mais Pierre-Alain Frau, pourtant pas loin de ce qui se fait de mieux en Ligue 1 en terme d’efficacité, tremble au moment de trembler et se troue face à un Sylva bien sur ses appuis (1-1, 86e). Compte tenu du scénario, c’est un bien mauvais point de pris à domicile.

Didier Digard : « J’ai été mauvais en première période, mais ce n’est pas à cause de la pression. »

02/09/2007 LIGUE 1 – 7e journée PSG 1 – 1 MARSEILLE Parc des Princes

Difficile de tenir un rythme de champion. C’est ce qu’ont dû penser les joueurs parisiens au lendemain de leur premier faux pas, au Mans (déroute 2-0, sur deux bévues d’Armand et Diané). Mais le PSG est bien décidé à laver cet affront et à frapper un grand coup. Et quoi de mieux pour s’étalonner que d’accueillir l’Olympique de Marseille, dont le palmarès à l’envers force le respect de tous les observateurs depuis 15 ans ? En championnat, ces deux grands d’Europe sont à nouveau au coude à coude, et avancent au rythme hallucinant d’un peu moins d’un point par match. Bref, tout est en place pour un clasico de folie.

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Entre Gregory Bourrillon et Lorik Cana, le match a été âpre.

C’est bien connu, le Parc des Princes reste cet endroit inhospitalier où même les plus grandes équipes ont bien du mal à repartir sans en avoir pris trois dans la musette. Et sur une inspiration géniale de Landreau, qui avait bien vu Cissé, ce dernier commet l’irréparable (11e). Malchanceux Djibril, qui avait pourtant effectué un pointard parfait, à montrer dans toutes les écoles de football. Autre victime de ce début de rencontre : Luyindula qui, en trébuchant, ne peut lui non plus éviter les filets marseillais (20e). C’est le drame désormais classique d’un club qui fait beaucoup de mal à son ancien joueur. Frau (29e, 41e) sera heureusement le grand bonhomme de cette fin de mi-temps, en s’appliquant à conclure de pied de maître des actions parisiennes pourtant bien mal engagées.

La deuxième période sera mémorable, on pourrait vous en conter chaque minute. Rarement un clasico aura si bien tenu ses promesses. Malheureusement, Mandanda (sur une reprise dévissée de Digard, 68e) et Landreau (sur un coup-franc mal tiré de Nasri, 70e) ne sont pas au niveau de leurs camarades.

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Pour son premier clasico, Mandanda est complètement passé à côté de son match

Le sort du match est scellé. Les deux mastodontes consentent à prendre chacun un point, pour ne surtout pas risquer que l’autre n’en prenne pas. Avec deux points seulement de distribués, la pression est mise sur les concurrents. Côté parisien, Paul Le Guen gère alors tranquillement la fin de rencontre, et fait rentrer Chantôme (78e) et Pauleta (80e) pour faire souffler ses cadres titulaires. Leur fraîcheur sera primordiale si Paris veut aller chercher cette Ligue 2 qui le fuit depuis si longtemps.

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Le clasico 2007 a tenu toutes ses promesses à l’envers.

Jérôme Rothen : « Nous avons été à la hauteur de l’événement et de l’ambiance. »

23/09/2007 LIGUE1 – 9e journée PSG 0 – 2 BORDEAUX Parc des Princes

Après son faux pas à Monaco, le PSG, 11eme, est déjà au pied du mur et doit absolument s’incliner face à Bordeaux sous peine de voir s’éloigner le spectre de la crise.

Malgré les derniers résultats de son équipe, Paul Le Guen a choisi de ne pas modifier son onze de départ. La formation alignée au coup d’envoi est la même que celle qui a pris sept points lors des trois derniers matches mais Le Guen compte sur une réaction d’orgueil de ses joueurs.

Paris se montre sans pitié avec de faibles bordelais, abonnés aux dernières places depuis 3 saisons. En se faisant rapidement mener au score dès la 10eme minute, le PSG se met à l’abri et gère tranquillement son match à l’envers. Dès la reprise, Jussiê se promène en contre, puis gambade dans la surface, avant de glisser à Bellion qui ne peut faire autrement que pousser le ballon dans le but vide (0-2, 47e). Le break est fait, PSG obtient sans trembler sa 2eme défaite à domicile de la saison.

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Paul Le Guen a donné une leçon tactique à l’inexpérimenté Laurent Blanc

Grégory Bourillon « C’est difficile d’expliquer cette différence entre nos performances à domicile et à l’extérieur. Nous sommes plutôt une équipe de contre mais nous devons savoir nous adapter à notre adversaire à domicile. Je trouve que le contenu du match était intéressant. C’est mieux qu’avant. Il reste encore beaucoup de points à travailler, mais il y a de la qualité dans cette équipe. »

06/10/2007 LIGUE 1 – 10e journée PSG 1 – 3 RENNES Parc des Princes

C’est un Stade Rennais aux portes de la relégation européenne qui se présente à Paris, plus que jamais en course pour le titre, après son beau résultat face à Bordeaux. Le Président Borelli serait sûrement fier de ses protégés, lui qui n’a jamais réussi à faire quoi que ce soit au PSG. Mais il vient de passer dans le monde à l’envers, et une grande fête de deux minutes de silence lui est consacrée. Ce pauvre Francis n’aura donc pas la joie de voir évoluer Didier Digard au poste de milieu droit, qui semble avoir été inventé pour lui.

Comme d’habitude, Paris prend le match en main. Jérôme Leroy, dont le PSG a décidément bien fait de se débarrasser, est pris au piège par la défense qui faisait croire qu’elle jouait le hors jeu. Paniqué, il effectue alors un geste aussi disgracieux qu’inefficace : un lob (0-1, 19e). Le Parc des Princes reste muet devant tant de laideur et décide de prolonger l’hommage à Francis Borelli jusqu’à la mi-temps.

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Auteur d’un vilain geste, Jérome Leroy est consolé par ses coéquipiers.

Au retour des vestiaires, Ceará, ce solide latéral, montre qu’il est malheureusement bien moins à l’aise offensivement et frappe n’importe comment un ballon pourtant anodin (1-1, 58e). C’est la tuile, et il faut toute l’expérience de Mickaël Landreau pour permettre aux siens de revenir dans le match. Le portier parisien se fend d’une sortie d’un niveau international qui ouvre parfaitement l’angle de son but à Jimmy Briand. Bluffé par tant de talent, le Rennais en oublie ses fondamentaux : décadrer sa frappe (1-2, 74e). Toujours aussi serein lorsqu’il s’agit de gérer une situation analogue, le PSG n’a plus qu’à dérouler devant des Bretons médusés. Les Parisiens se permettent même de donner une petite leçon de réalisme défensif à Sylvain Wiltord, qui aurait pu faire une toute autre carrière s’il avait rejoint son club de coeur (1-3, 84e).

Avec Landreau, Bourillon, Rothen et Pauleta, le PSG place quatre joueurs dans l’équipe pauvres types. Une performance à l’envers de haut niveau. La route vers la Ligue 2 est encore longue, mais tous les espoirs sont permis.

Alain Cayzac : « Nous avions un hommage à rendre à Francis Borelli. »

28/10/2007 LIGUE1 – 12e journée PSG 2 – 3 LYON Parc des Princes

Sur le papier, le match est totalement déséquilibré mais Paul Le Guen n’a rien voulu laisser au hasard. Sentant l’équipe trop confiante, il a décidé d’aligner l’équipe de CFA à Valenciennes (0-0, avec une énorme bévue de Landreau déviant un puissant coup franc de Steve Savidan sur sa barre) puis contre Lyon. Entre temps, Paris a balancé sans état d’âmes son match de Coupe à la Ligue à Lorient (victoire 3-0, avec un doublé du pourtant très prometteur David N’Gog).

L’entame des Parisiens est difficile mais le talent individuel va faire la différence. Face à l’armada parisienne, les Lyonnais avec Benzema et Ben Arfa font peine à voir.

A la 41e minute, Ceará remet intelligemment pour Ben Arfa qui ne peut que catapulter le ballon dans les filets de Landreau, heureusement impuissant (0-1). Encouragé, Paris part à l’abordage et Lyon se fait prendre au piège du contre. Benzema traverse la moitié de terrain parisienne avant d’adresser un missile en direction de la lucarne de Landreau. Le portier tricolore commet une nouvelle énorme erreur en repoussant sa frappe mais le pauvre Ben Arfa a suivi et double la mise (0-2, 44e).

La deuxième période est décousue. En confiance, Paul Le Guen se permet même de faire rentrer un Pauleta décidément bien malheureux cette saison avec deux nouveaux buts, erreurs sans conséquence, Lyon s’imposant finalement 3-2. 3eme défaite consécutive à domicile pour le PSG, intouchable dans son jardin du Parc.

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Pauleta peut s’en vouloir. A cause de lui, le PSG a frôlé la correctionnelle.

Mamadou Sakho fait preuve d’une belle assurance « Cette semaine, la préparation n’a pas été différente parce que nous devions affronter Lyon. Quand nous sommes sur le terrain nous oublions tout ce qu’il y a autour. Je pense que nous avons fait un match sérieux ».

A l’issue de ce premier tiers du championnat, Paris est en embuscade en 15eme position. Tout reste ouvert.

  1. 2 473 réponses to “Saison 2007-2008 : la rétro à l’envers (première partie)”

  2. Très belle rétro a l’envers qui nous permet de ne pas oublier tous les exploits de cette belle équipe du PSG 2007/2008!

    on attend la suie mais avec l’expérience accumulée depuis 2 3 saisons, et si le nouveau staff ne fait pas d’erreurs de débutants, vous faites parti des favoris pour la montée en L2 l’an prochain! ne decevez pas vos supporters cette fois ci

    De Jean Pierre Papin, roi des forêts le 3/06/2008

  3. Heureusement, avec Villeneuve on ne laissera pas passer notre chance la saison prochaine… Valenciennois, Lorientais, Caennais, Toulousains, Sochaliens, Auxerrois, et (favoris) Grenoblois peuvent trembler, en 2008/2009, on joue le titre! Pourvu que Papy resigne pour une année, il partirait enfin avec ce qu’il était venu chercher!

    De Fier de nos couleurs le 3/06/2008

  4. 18/08/2007 LIGUE1 4e METZ 0 – 0 PSG Saint-Symphorien

    C’est le premier grand choc de la saison entre deux équipes qui n’ont pas encore gagné un seul match. Metz est déjà leader et apparaît comme le grand favori du championnat à l’envers. Emmené par Francis De Taddeo et sa pléiade de stars, Julien François et autre Sébastien Renouard, les messins tournent en effet à l’hallucinante moyenne de 0,25 point par match. Le PSG est prévenu.

    => Le Fc Metz réinvente les mathématiques. Après 3 matchs, il n’aurait donc que 0,75 point.

    (bravo aux auteurs pour l’ensemble de l’oeuvre accomplie, sinon)

    De domi néné ba gagnier le 3/06/2008

  5. Très cher domi néné ba gagnier,
    nous vous remercions pour votre vigilance et rapide comme le Thiriez, nous retirons immédiatement au FC Metz ce quart de point attribué à tort.

    De Les auteurs le 3/06/2008

  6. Dommage que l’épisode de VA-PSG avec l’équipe très jeune alignée par P. Le Guen n’ait pas suscité un « Malgré un coaching audacieux pour mettre toutes les chances de son côté en alignant une équipe inexpérimentée, P. Le Guen bute sur une équipe valenciennoise qui n’en demandait pas moins après un début de saison catastrophique à domicile pour les hommes de Kombouaré… Un point de perdu pour Paris, deux de gagnés pour VA… »

    De Takinho le 3/06/2008

  7. Sympathique, il faut néanmoins maîtriser le 15ème degré.

    J’adore, je suis supporter du PSG et je m’esclaffe de une telle ironie.!!

    Cdt,

    De Chamss le 4/06/2008

  8. Je ne connais pas grand’chose de plus troublant (intellectuellement) que la lecture d’un article soigneusement rédigé sur l’envers du championnat

    J’adoore.

    De Didier_F le 7/06/2008

  9. J’avoue avoir beaucoup ri, étant supporter du PSG et le regrettant 6 jours sur 7. Et ce passage : « A la 41e minute, Ceará remet intelligemment pour Ben Arfa » m’a fait énormément rire (en fait, tout ce qui concerve Caera). Et je ne peux qu’être d’accord avec Didier_F concernant ces articles sur le championnat à l’envers depuis que je suis incapable de parler ou de comprendre quoi que ce soit normalement. J’ai depuis perdu ma femme et mon emploi mais je ne désespère pas.

    De Emzy le 7/06/2008

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